📚HOURIS DE KAMEL DAOUD | LE CHEF D’ŒUVRE DE CETTE RENTRÉE LITTÉRAIRE !! 📚

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Комментарии
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Histoire vraie malheureusement inspiree d'une histoire vraie publiee sans le consentement de la victime. Cest malheureux de voler l'histoire des autres a leur insu surtout si cette histoire est un traumatisme bravo saada la vraie heroine bravo pour ton courage et chapeau a ton mari omar l'amour quil te porte est unique

LouisaLouisa-rwxo
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Connaissez-vous l’histoire vraie de cette fille à qui appartient vraiment l’histoire ? Elle habite à oran, elle s’appelle saada . La vérité sur ce roman qui n’en est pas un. Renseignez-vous . Le personnage de ce roman est passé à la télévision algérienne pour raconter comment daoud à eut vent de son histoire . Vous allez être surpris. Cette personne existe. Demandez-vous qui qui était la psychiatre qui l’a suivait.

SorayaHammoudi-po
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Indépendamment de son soit-disant talent de narrateur, cet écrivain a quand-même volé le dossier médical de cette jeune fille en exploitant la position de sa femme qui est la psy de cette jeune fille !

dsem
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Désolée de casser l'ambiance mais cet écrivain a volé l'histoire d'une jeune fille algérienne championne d'équitation. Cette jeune fille était une patiente de la femme de Mr Daoud. Raconter l'histoire de cette personne sans son consentement et divulguer des secrets médicaux est tout simplement honteux ! Il était temps de démasquer cet écrivain !

dsem
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Honteux ! Ce livre parle de l'histoire d'une femme qui lui a interdit de le faire !
K D n'est qu'un opportuniste 🤮

nassilh
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Cette serpillière littéraire, sauf respect pour la Victime, ne peut être considérée comme un chefdoeuvre

benc
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Ont sait! Ça fera sûrement l'objet d'une plainte, paraît-il.

Numide
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BONJOUR MONSIEUR JE SUIS DÉSOLÉE CELA N'A RIEN AVOIR AVEC VOUS VOUS PARLEZ DE CE LIVRE AVEC PASSION MAIS KAMEL DAOUD N'A FAIT AUCUNS CHEFS D'OEUVRE À PART AVOIR AGGRAVÉ LA DOULEUR ET LA SOUFFRANCE D'UNE FEMME QUI FAISAIT UNE THÉRAPIE DONT LE SECRET MÉDICAL A ÉTÉ DIVULGUÉ, TRAHIT VOLÉ 🙏🙏🙏

nadiazeroug
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Commentaire très bienveillant de ce roman que j'ai lu jusqu'à la fin.
Je ne partage pas votre admiration car pour moi la lecture de Houris était plutôt un clavaire. Non seulement en raison du sujet abordé, la décennie noire, ce trou noir de l'histoire algérienne contemporaine et le sort tragique de la héroïne Aube. Ce personnage emprunté apparemment à la vie réelle (sans demander d'ailleurs l'autorisation à l'interessée, mais passons) aurait pu être très touchant par l'histoire qu'elle avait vécue et qu'elle vit dans le roman. A savoir le destin d'une égorgée de justesse qui refait sa vie comme coiffeuse effrontée aux côtés de sa mère adoptive ! Sa grossesse malvenue et indésirable. Son desir de se débarrasser de cet enfant qu'elle apostrophe tendrement et qu'elle a décidé de tuer pour lui épargner un triste sort dans un monde sans amour et sans pitié. Pour elle cet enfant pas encore né ne peut être qu'une fille et une femelle ne sera pas à son avis la bienvenue dans ce pays misogyne et violent qui l'entoure. En racontant sa triste vie à ce fœtus dans son ventre, la narratrice peint un portrait très noir de l 'Algérie et son discours n' est pas démenti ou atténué par les monologues des autres personnages (le libraire, la " terroriste" ou le sheikh-boucher).
En fait tous ces personnages semblent être marqués par ces évènements néfastes dont tout le monde veut étouffer la mémoire sans vraiment y réussir.
Daoud a fait certes un livre nécessaire en donnant la voix à tout ceux qui ont des souvenirs refoulés de cette époque mais en mélangeant des faits réels à la fiction on ne sait plus où on est en tant que lecteur.
En tout cas ce n'était pas une lecture réjouissante pour moi. Je me sentais plongé dans un univers étouffant et sinistre où on passait d'une horreur à l'autre. Même la protagoniste Aube par moments m'agaçait avec son monologue interminable et frustrant.
La fin qui se veut optimiste est surprenant d'autant que tout ce qui y mène est désespérant et désolant.

PeterMaier-fw
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Bonjour j'ai lue le livre, c'est un véritable chef d'œuvre .Il a largement mérité le prix

ruthtuvio
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Tout dépends comment s'est écrit ( polémique ) s'il reprends des monologues entiers copier/coller de la patiente de sa femme ou s'il s'inspire juste du réel. Tout roman emprunte au réel.

audreykarelita
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Si il s'avère que c'est vrai c'est l'histoire de cette fille, c'est pas normal. Moindres des choses l'argent qui vient de ce livre qu'il le partage avec cette fille..

Missipsal
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Ce livre de kamel daoud, je l'ai lu il est ordinaire comme histoire et comme œuvre littéraire, son seul interét c'est qu'il dénigre l'Algérie à un moment ou la période est propice pour les colons et fils, nostagique d'un passe criminel sur fond de crise politique.

Borsalino-gp
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Bouleversant Plusieurs jours après la fin de la lecture je suis toujours hantée Et magnifique réflexion sur les notions d histoire de mémoire et d instrumentalisation de l
histoire Merci d en parler si bien

Charmian
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Cet écrivain a volé l'histoire d'une jeune fille algérienne.

alaamina
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En effet il a volé l'histoire de mon amie d'enfance Saada, ma voisine qui habite la porte d'en face de chez moi.

Il y a eu violation du secret médical.
La femme de Kamel était la psychiatre de Saada.
Saada a clairement refusé qu'il écrive SON histoire.
Vous qui avez de la visibilité je vous en prie parlez en 🙏🏻

MehdiKraba
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Merci pour cette critique élogieuse. J'ai lu ce roman et je suis exactement comme vous après la lecture de Houris. C'est un roman qui m'a redonné le moral. La littérature est encore bien vivante quand des écrivains comme Kamel Daoud nous en révèle toute l'importance. Un chef d'oeuvre vous avez

depageenpage
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Il lui a volé sa voix à aube kamel Daoud !

nassilh
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Trop beau pour que ça soit vrai.
C'est bien la fable: la 🐸 qui voulait se faire aussi grosse qu'un boeuf 🐃

messaoudrida
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Toute la problématique des écrivains algériens francophones, et ceci au moins depuis Kateb Yacine, c'est le choix de la langue dans laquelle ils vont écrire : l'arabe ou le français. Jacques Derrida le disait déjà : "Je n'ai qu'une seule langue et ce n'est pas la mienne." La problématique, je devrai dire le drame, car une fois choisie, que va-t-on faire de cette langue ? Avec Nedjma, écrit en français, Kateb Yacine décide de "violenter" cette langue, de lui faire dire "ce que ne disaient pas les dominateurs ou le contraire de ce qu'ils disaient."

Avec Houris, Kamel Daoud choisit clairement la langue du colonialiste : sa langue intime, intérieure, celle dans laquelle il peut enfin dire les horreurs de la seule guerre qui compte pour lui, c’est la langue française, qui s’oppose à la langue extérieure, celle dans laquelle l’imam « vocifère » et « crie », la langue dans laquelle les hommes se réclamant de dieu, frappent leur femme, les condamnent à ne jamais sortir de chez elle, les labourent sexuellement sans aucun amour, soit la langue arabe. Dès les premières pages, Kamel Daoud, sans se poser de questions, fait son choix : « Je m’appelle Aube. Fajr dans la langue extérieure. Aube dans la langue intérieure. » Et pourtant, il arrive parfois, mais c’est très vite balayé, à se sentir en difficulté entre ces deux langues : « Mes deux langues m’enserrent la gorge comme deux mains. »

Tout est dit dans les premières pages de ce livre, et je ne comprends que difficilement les commentaires qui passent sans le voir, sans voir le choix qui est fait de la langue du colonialiste, sauf à considérer que la France post-coloniale rêve encore d’une Algérie française.

aurelien