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Réforme des retraites : le discours de Dussopt au Sénat comparé à celui de l'Assemblée
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Le ministre du Travail a ouvert les débats sur la réforme des retraites au Sénat ce 2 mars dans une ambiance bien plus apaisée qu’à l’Assemblée.
Olivier Dussopt a lancé les débats sur la réforme des retraites au Sénat ce jeudi 2 mars en reprenant son fameux : « Nous y sommes » qui introduisait déjà les discussions à l’Assemblée nationale. Sauf que l’ambiance dans les deux hémicycles ne pouvait être plus différente.
Le ministre du Travail a défendu le projet du gouvernement sans avoir à se répéter, comme c’était le cas dans l’hémicycle de la chambre basse le 6 février, où les cris de protestation de ses opposants et les applaudissements de soutien de son camp l’ont rendu totalement inaudible.
Une différence que n’a pas manqué de noter Gabriel Attal. « Je sais qu’ici on débat, on se respecte. Je sais qu’ici il n’y a pas de ZAD, il n’y a que la République », a déclaré le ministre des Comptes public devant les sénateurs.
« Nous sommes ouverts au compromis entre la majorité sénatoriale qui incarne la volonté d’une réforme et la majorité présidentielle qui porte la responsabilité de la réforme », a-t-il assuré à l’hémicycle, à majorité de droite.
Un tacle peu apprécié par la sénatrice socialiste Laurence Rossignol. « Que le Ministre calme sa joie d’être au Sénat ! » a-t-elle tweeté. « Nous ferons tout pour faire échec à la réforme des #retraites. Nous utiliserons tous les moyens que la démocratie parlementaire nous donne. »
#reformedesretraites #Dussopt #sénat #assembléenationale
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Olivier Dussopt a lancé les débats sur la réforme des retraites au Sénat ce jeudi 2 mars en reprenant son fameux : « Nous y sommes » qui introduisait déjà les discussions à l’Assemblée nationale. Sauf que l’ambiance dans les deux hémicycles ne pouvait être plus différente.
Le ministre du Travail a défendu le projet du gouvernement sans avoir à se répéter, comme c’était le cas dans l’hémicycle de la chambre basse le 6 février, où les cris de protestation de ses opposants et les applaudissements de soutien de son camp l’ont rendu totalement inaudible.
Une différence que n’a pas manqué de noter Gabriel Attal. « Je sais qu’ici on débat, on se respecte. Je sais qu’ici il n’y a pas de ZAD, il n’y a que la République », a déclaré le ministre des Comptes public devant les sénateurs.
« Nous sommes ouverts au compromis entre la majorité sénatoriale qui incarne la volonté d’une réforme et la majorité présidentielle qui porte la responsabilité de la réforme », a-t-il assuré à l’hémicycle, à majorité de droite.
Un tacle peu apprécié par la sénatrice socialiste Laurence Rossignol. « Que le Ministre calme sa joie d’être au Sénat ! » a-t-elle tweeté. « Nous ferons tout pour faire échec à la réforme des #retraites. Nous utiliserons tous les moyens que la démocratie parlementaire nous donne. »
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