Mozart - Piano Concertos No.20,21,22,23,24,25,26,27 + Presentation (Century's record. : Lili Kraus)

preview_player
Показать описание
Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) - Piano Concertos 20-27.
*Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-05:43)
A very big « THANKS » to Sony Music who authorized us to release this recording.
Piano Concerto No.20 in D minor, K.466 Ⅰ. Allegro (00:00)
Piano Concerto No.20 in D minor, K.466 II. Romance (13:34)
Piano Concerto No.20 in D minor, K.466 III. Rondo: Allegro assai (22:31)

Piano Concerto No.21 in C major, K.467 Ⅰ. Allegro maestoso (30:28)
Piano Concerto No.21 in C major, K.467 II. Andante (44:27)
Piano Concerto No.21 in C major, K.467 III. Allegro vivace assai (50:39)

Piano Concerto No. 22 in E flat Major, K. 482 - 1. Allegro (57:47)
Piano Concerto No. 22 in E flat Major, K. 482 - 2. Andante (1:10:53)
Piano Concerto No. 22 in E flat Major, K. 482 - 3. Allegro (1:19:30)

Piano Concerto No. 23 in A Major K. 488 - 1. Allegro (1:31:20)
Piano Concerto No. 23 in A Major K. 488 - 2. Adagio (1:41:57)
Piano Concerto No. 23 in A Major K. 488 - 3. Allegro Assai (1:47:30)

Piano Concerto No. 24 in C Minor K. 491 - 1. Allegro (1:55:27)
Piano Concerto No. 24 in C Minor K. 491 - 2. Larghetto (2:08:24)
Piano Concerto No. 24 in C Minor K. 491 - 3. Allegretto (2:15:23)

Piano Concerto No. 25 in C Major K. 503 - 1. Allegro (2:24:47)
Piano Concerto No. 25 in C Major K. 503 - 2. Andante (2:39:38)
Piano Concerto No. 25 in C Major K. 503 - 3. Allegretto (2:45:48)

Piano Concerto No. 26 in D Major K. 537 - 1. Allegro (2:55:10)
Piano Concerto No. 26 in D Major K. 537 - 2. Larghetto (3:09:18)
Piano Concerto No. 26 in D Major K. 537 - 3. Allegretto (3:15:06)

Piano Concerto No. 27 in B-Flat Major K. 595 - 1. Allegro (3:27:00)
Piano Concerto No. 27 in B-Flat Major K. 595 - 2. Larghetto (3:40:29)
Piano Concerto No. 27 in B-Flat Major K. 595 - 3. Allegro (3:48:17)

Piano : Lili Kraus
Vienna Festival Orchestra
Conductor : Stephen Simon
Recorded in 1965-66
New Mastering in 2017 by AB for CMMR
❤️ If you like CMRR content, please consider membership at our Patreon or Tipeee page.

COMMENTAIRE COMPLET : VOIR PREMIER COMMENTAIRE ÉPINGLÉ.
Nulle part plus que dans ses andantes, Mozart n'a montré combien son expression personnelle a su épouser la forme que l'usage de son époque lui présentait. Dans certains de ses allegros et rondos, il peut nous arriver de percevoir jusqu'à en souffrir la symétrie et la régularité d'une section, à tel point que la forme s'impose à notre attention plus que le sentiment. Dans ses andantes, inspiration et technique, lyrisme et construction, se fondent avec une telle unité que rien ne nous distrait de la beauté de la pensée elle-même. Les concertos ne mériteraient pas, dans l'œuvre de Mozart, la place hautement représentative qu'ils occupent si leurs andantes n'étaient pas les égaux des meilleurs de ceux des quatuors et des symphonies. Aucun autre groupe de mouvements chez lui ne les dépasse en variété.

Lili Kraus a comparé son affinité avec Mozart à une mission : « Quand j'ai commencé à explorer Mozart, j'ai découvert la beauté infinie de cette musique, et d'une certaine manière il m'est donné de donner vie à cette beauté. Je trouve qu'il est de mon devoir, de mon privilège, et si vous voulez, de ma croix, de consacrer ma vie à cette musique. » Certains pianistes et compositeurs deviennent inextricablement liés aux yeux du public. Mentionnons Glenn Gould, par exemple, et les Variations Goldberg de Bach viennent à l'esprit. Artur Schnabel et Beethoven étaient pratiquement synonymes, tout comme Walter Gieseking et Debussy, Arthur Rubinstein et Chopin, Alicia de Larrocha et les impressionnistes espagnols. Lorsqu'il s'agissait de la musique pour piano de Mozart, plusieurs générations d'auditeurs et de collectionneurs considéraient les interprétations de Lili Kraus comme le dernier mot..

Рекомендации по теме
Комментарии
Автор

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) - Piano Concertos 20-27.
*Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-05:43)
A very big « THANKS » to Sony Music who authorized us to release this recording.
Piano Concerto No.20 in D minor, K.466 Ⅰ. Allegro (00:00)
Piano Concerto No.20 in D minor, K.466 II. Romance (13:34)
Piano Concerto No.20 in D minor, K.466 III. Rondo: Allegro assai (22:31)

Piano Concerto No.21 in C major, K.467 Ⅰ. Allegro maestoso (30:28)
Piano Concerto No.21 in C major, K.467 II. Andante (44:27)
Piano Concerto No.21 in C major, K.467 III. Allegro vivace assai (50:39)

Piano Concerto No. 22 in E flat Major, K. 482 - 1. Allegro (57:47)
Piano Concerto No. 22 in E flat Major, K. 482 - 2. Andante (1:10:53)
Piano Concerto No. 22 in E flat Major, K. 482 - 3. Allegro (1:19:30)

Piano Concerto No. 23 in A Major K. 488 - 1. Allegro (1:31:20)
Piano Concerto No. 23 in A Major K. 488 - 2. Adagio (1:41:57)
Piano Concerto No. 23 in A Major K. 488 - 3. Allegro Assai (1:47:30)

Piano Concerto No. 24 in C Minor K. 491 - 1. Allegro (1:55:27)
Piano Concerto No. 24 in C Minor K. 491 - 2. Larghetto (2:08:24)
Piano Concerto No. 24 in C Minor K. 491 - 3. Allegretto (2:15:23)

Piano Concerto No. 25 in C Major K. 503 - 1. Allegro (2:24:47)
Piano Concerto No. 25 in C Major K. 503 - 2. Andante (2:39:38)
Piano Concerto No. 25 in C Major K. 503 - 3. Allegretto (2:45:48)

Piano Concerto No. 26 in D Major K. 537 - 1. Allegro (2:55:10)
Piano Concerto No. 26 in D Major K. 537 - 2. Larghetto (3:09:18)
Piano Concerto No. 26 in D Major K. 537 - 3. Allegretto (3:15:06)

Piano Concerto No. 27 in B-Flat Major K. 595 - 1. Allegro (3:27:00)
Piano Concerto No. 27 in B-Flat Major K. 595 - 2. Larghetto (3:40:29)
Piano Concerto No. 27 in B-Flat Major K. 595 - 3. Allegro (3:48:17)

Piano : Lili Kraus
Vienna Festival Orchestra
Conductor : Stephen Simon
Recorded in 1965-66
New Mastering in 2017 by AB for CMMR
❤ If you like CMRR content, please consider membership at our Patreon or Tipeee page.

Les concertos que Mozart a écrits pour son instrument favori jouent dans l'histoire de leur genre un rôle comparable à celui joué dans l'histoire de la symphonie par les neuf chefs-d'œuvre de Beethoven. De même que la symphonie beethovénienne a déterminé la forme du genre pour près d'un siècle, de même les concertos pour piano de Mozart, par leur nombre et par la grande beauté de la plupart d'entre eux, sont à l'origine du concerto moderne et ont tracé les lignes selon lesquelles il s'est pendant longtemps développé.

Le défi pour les compositeurs de la fin du XVIIIe siècle était de concilier les caractéristiques les plus fortes de la forme concerto baroque (contrastes timbraux distincts entre un instrumentiste soliste et un orchestre, plus une brillante écriture en solo) avec le nouveau style de sonate-allegro. Lui-même virtuose accompli, Mozart a élevé la fonction de pianiste soliste à de nouveaux niveaux d'expression, de technique et d'élan dramatique. Par conséquent, le piano et l'orchestre n'étaient pas simplement des partenaires égaux, mais des personnages distincts à part entière.

Entre tous les grands compositeurs, Mozart est celui qui a enrichi la bibliothèque du genre du plus grand nombre de chefs-d'œuvre. Chez la plupart des maîtres, les concertos tiennent une place relativement petite, beaucoup plus petite, par exemple, que les symphonies ou les quatuors. Chez lui, au contraire, ils sont plus nombreux que n'importe quelles autres compositions, à l'exception des symphonies.

Cependant, aux yeux du musicien qui se préoccupe moins de l'histoire de la forme que de la personnalité de chaque œuvre, de la pensée qui l'inspire et de la joie qu'elle peut procurer, ses concertos sont encore plus précieux, car ils constituent une source intarissable de jouissance artistique. Ils forment un groupe de chefs-d'œuvre qu'on pratique continuellement sans jamais s'en lasser.

Dans leur diversité, ils correspondent aux états d'âme les plus variés, depuis le contentement où nous demandons l'art d'être une simple distraction, délicate plutôt que profonde, depuis la joie de vivre franche et animale, la santé physique et morale et le parfait équilibre de toutes les facultés, jusqu'à la mélancolie, la douleur et même la révolte, jusqu'à cette sérénité « olympienne » qui atteint l'air vivifiant des hauts sommets. Il y a peu de moments de notre vie intérieure qui ne retrouvent dans l'un ou l'autre le tonique dont ils ont besoin. C'est là la marque des plus grandes œuvres et elle permet de placer ces concertos parmi ce que la musique a produit de plus durable.

L'uniformité relative qu'au premier abord on croit constater entre eux disparaît devant l'examen. L'émotion ne se reproduit jamais identique d'une œuvre à l'autre ; une physionomie particulière à chacune d'elles permet de les différencier, et la variété de leur inspiration se révèle toujours plus grande à mesure qu'on en approfondit l'étude. C'est grâce à cette variété que Mozart est parmi le petit nombre des compositeurs dont on peut faire son pain quotidien. Peu importe la diversité de la forme ; la diversité de l'émotion est celle qu'exige notre esprit et la seule qui prévienne l'ennui. Nombre de musiciens ont une forme plus variée que celle de Mozart, et leurs œuvres, néanmoins, lorsqu'on veut s'en repaître, provoquent bientôt un sentiment de monotonie que le Mozart des grandes œuvres ne cause jamais et dont on ne souffre chez lui que si on s'obstine à l'étudier dans les compositions où il n'a pas mis le fond de lui-même. Ce privilège qui leur appartient' de satisfaire d'une manière durable l'âme et l'esprit, plus encore que leur rôle historique, a valu à ses concertos pour piano leur place aux rangs des chefs-d'œuvre.

Nulle part plus que dans ses andantes, Mozart n'a montré combien son expression personnelle a su épouser la forme que l'usage de son époque lui présentait. Dans certains de ses allegros et rondos, il peut nous arriver de percevoir jusqu'à en souffrir la symétrie et la régularité d'une section, à tel point que la forme s'impose à notre attention plus que le sentiment. Dans ses andantes, inspiration et technique, lyrisme et construction, se fondent avec une telle unité que rien ne nous distrait de la beauté de la pensée elle-même. Les concertos ne mériteraient pas, dans l'œuvre de Mozart, la place hautement représentative qu'ils occupent si leurs andantes n'étaient pas les égaux des meilleurs de ceux des quatuors et des symphonies. Aucun autre groupe de mouvements chez lui ne les dépasse en variété.

Nous sentons, cependant, que certains mouvements s'apparentent l'un à l'autre, qu'il est des « familles de mouvements » et cela permet d'établir une certaine classification parmi eux. C'est ainsi que les andantes de Mozart, malgré leur richesse et leur diversité, et avec quelques exceptions, se laissent rapporter à quatre ou cinq types, que nous pouvons étiqueter, pour plus de commodité, l'andante galant, l'andante-rêve, l'andante ou adagio méditatif, l'andante cantabile ou romance, et l'andante élégiaque ou dramatique. Personne ne sera dupe de cette classification au point de la croire absolue. Mais elle peut nous aider à embrasser plus facilement l'ensemble de ces andantes où Mozart a livré ce qu'il avait de plus précieux.

Les concertos de Mozart, cependant, étaient loin d'être des incontournables des salles de concert au début du XXe siècle. Pourtant, le vent a commencé à tourner. Une nouvelle génération d'éminents claviéristes classiques, parmi lesquels Wanda Landowska, Walter Gieseking, Edwin Fischer et Arthur Schnabel, a contribué à faire avancer la cause, tout comme Lili Kraus. Lili Kraus a comparé son affinité avec Mozart à une mission : « Quand j'ai commencé à explorer Mozart, j'ai découvert la beauté infinie de cette musique, et d'une certaine manière il m'est donné de donner vie à cette beauté. Je trouve qu'il est de mon devoir, de mon privilège, et si vous voulez, de ma croix, de consacrer ma vie à cette musique. »

Certains pianistes et compositeurs deviennent inextricablement liés aux yeux du public. Mentionnons Glenn Gould, par exemple, et les Variations Goldberg de Bach viennent à l'esprit. Artur Schnabel et Beethoven étaient pratiquement synonymes, tout comme Walter Gieseking et Debussy, Arthur Rubinstein et Chopin, Alicia de Larrocha et les impressionnistes espagnols. Lorsqu'il s'agissait de la musique pour piano de Mozart, plusieurs générations d'auditeurs et de collectionneurs considéraient les interprétations de Lili Kraus comme le dernier mot..




classicalmusicreference
Автор

" it’s the D minor (K.466) I love the most. It is in resonance with my profound being. I sense each note deep in my heart… the music is breathtaking, majestic, tremendous, it fills my soul with beauty, and longing, and a bittersweet feeling that words could never explain" . W. A. Mozart

ronaldopacifico
Автор

It took me a long while, but I finally figured out mozart. No matter how hard you study, as Beethoven found out, you will never be him. Why? He remembered everything. It's really that simple. He had an unbelievable ear, math genius, and can remember everything he hears or touches. He could be extraterrestrial for all we know! Mozart reused his old melodies all the time because they were simply in his head and he was trying to make them better. Piano concerto #22 for example, 3rd movement is an example where only mozart could do it. Beethoven couldn't have that creativity to save his life. His memory was the main difference! You can hear it in his music. Every concerto gets better and better at something because he can always recall what he did. It's what made him tbe greatest ever.

beethovenlovedmozart
Автор

Ô Seigneur, merci de nous avoir donné Mozart.

MrYomino
Автор

An honor to have studied with Lili. I listened to her recordings repeatedly as a child and finally got to be under her tutelage as a 31 year old.

normanrichmond
Автор

I absoloutly love these versions . Kraus and her fellow musicians play Mozart because they love it. One can hear how much they enjoy to do so. They're not trying to impress any one 🙂

sukrame
Автор

The more I listen to Mozarts #24, the more I realize what this piece was. This was Mozart for one month not giving a damn what people thought. This piece was Mozart coming out of a shell. This piece was to leave no doubt who the best composer in the world was. This piece was Mozart telling the world "I'm here and this is why I'm the best". He didn't just write another concerto. He crushed what a concerto was up until this point. He sounded like he was freeing himself, and he let the world know this is how good he is and how far he's come. If I were Haydn or Beethoven listening to this for tbe first time, I would be In complete awe, shocked, and would run and hide because this was like what Beethovens 9th did to the Romantics, it set the bar high in the genre and they knew any work they did would never measure up. Oh so many composers were happy and sad he left early because this man had skills, heart, photographic memory, taste, and knew how to take a melody and create endless possibilities. As Haydn cried the last 15 years of his life "If the world could only see his talent through my musical eyes, they would never let him go. He was an irreplaceable generational talent gone way too soon."

beethovenlovedmozart
Автор

The Adagio to No. 23....one of the most beautiful pieces ever composed.

rodsalvador
Автор

Lili Kraus (3 April 1903 – 6 November 1986) was a Hungarian-born pianist. Thank You Lili !!

randalmata
Автор

The Lili Kraus and Stephen Simon complete Mozart Concertos were recommended to me when I read an article about where to find the best recordings of all these concertos. Wow! I hit the jackpot. The pianist and conductor understand Mozart more deeply than anyone else I have ever listened to in these concertos! Mozart can be so deep, bring out emotions in such a subtle way that you don't even know those emotions were even in you. There is also great humor and playfulness, simplicity and elegance, nuance... on and on. I think Lili Kraus understood Mozart better than almost any other pianist. She was so attuned to the composer, there is such color in every note and Lili searches the depths of touch and tone. Just as Mozart's concertos go where no composer can go, Lili Kraus and Stephen Simon go where no pianist and orchestra usually travel. What words can one use to describe these concertos? Sublime, gorgeous? Yes!

mr.fredericchopin
Автор

What wonderful music one which to reflect on Mozart's 267th birthday on 27 January 2023. Lili's piano is strikingly beautiful and pure, without any frills. Mozart's music will remain forever fresh and inspirational to all us who are lucky enough to be witnesses to his genius.

williammatthewjosephgenova
Автор

Как всё же прав был Чайковский, который сказал, что самая яркая звезда на музыкальном небосводе-это

ГеннадийМерзляков-ьщ
Автор

I'm drawn to each piece when Lily plays it, from No. 20 to No. 27.
I've wondered why, and thought about it a lot, but I don't know what it is.
I think there must be something to it. Perhaps it's Lily magic.
In any case, it stirs the soul of the listener.
Throughout the performance, Lily's touch on the keys is strong, making Mozart's melody stand out even more beautifully. I feel that she values ​​each and every note.
(There is something about her that is similar to Furtwängler.)
Lily's piano has clear musical lines and is pleasant to the ear.
Lily's piano sounds are gentle, beautiful, rhythmic and powerful.
I've listened to Nos. 20 to 27 in a row countless times on YouTube (over 150 times, which may be over 600 hours),
but I never get bored of listening to them.
I can always listen to them with a fresh feeling.
It's probably similar to the feeling of walking along a mountain ridge.
I'm walking along a beautiful path (Mozart's melody), carefully checking each step.
There are flower fields all around, cliffs below, and steep slopes and rough roads.
As she crosses eight passes and peaks (8 songs/Nos. 20 to 27).
Perhaps Lily is playing with such scenes in her mind.
I listened to "Mozart-Piano Concertos No. 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27" on YouTube. I didn't even know the name Lily Krauss. I knew that Mozart's late piano concertos were good pieces, so I tried listening to them without any preconceptions, but it felt like something completely different from what I had heard before. I tried to express its goodness in words, but I couldn't think of anything. The piano sound is clear and crisp, and each note sounds like it is bouncing powerfully and has a sense of dynamism. The timing is good and the rhythm is rhythmic. Every piece is beautiful and flowing. I am filled with gratitude for having come across such a performance.

A deep, profound sound. Finite and infinite ineffable emotions are mixed into the sound of each and every note. Each note in the slow movement in particular has a philosophical sound that makes you think deeply. What meaning did Mozart entrust to each and every note?

hachimansama-mo
Автор

What a beautiful 4 hour journey. How lucky are we to have had musicians like Mozart. <3

yasamanderiszadeh
Автор


喜び勇んで生き生きと奏でているようにみえる。


それが表れている。

感動することはない。リリーさんは本当に素晴らしい。
Lily seems to play with joy and vigor, savoring the joy of being able to express the world of Mozart that she imagined. She is trying to express the bitter sadness and suffering that Mozart must have experienced in his later years, while thinking about it. This is reflected in her strong, ambitious touch with strong contrasts. I have listened to many other famous pianists' performances, but I have never been as moved by them as Lily. Lily is truly wonderful.

hachimansama-mo
Автор

Майже чотири години чудових фортепіанних концертів неперевершеного Моцарта, та ще й без реклами! Найщиріша подяка!

АлександрИзмайлов-рс
Автор

Maravillosa música es mi alegría de mis días, ...! Felicitaciones....!!!! X mantener a diario estos clasico...

gloriablanco
Автор

Mozart rarely composed in minor keys. But when he suddenly changes from major key to minor key, it is just sublime. The No. 23, second movement is my favorite. Beautiful!!

elanding
Автор

There is Mozart, and there's the rest of them. Not that they're all alike, but he is one of a kind.

pinkcatstudios
Автор

I always get emotional when I hear Piano Concerto No.20 in D minor, K.466 II. Romance (13:34). Takes me back to the credits of Amadeus and how wiped out I feel after watching that movie!

lintelle