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Carrière Professionnelle : pourquoi on rejette tes idées ?
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Carrière Professionnelle : pourquoi on rejette vos idées
Par Aldo Sterone
Quel est le point commun entre Check Point, Kodak et DEC ? Ils ont tous refusé des innovations qui allaient boomer par la suite. Check Point a refusé l’idée d’un firewall de nouvelle génération. L’employé a l’origine de l’idée, Nir Zuk, est parti et il a fondé… Palo Alto. Palo Alto a dépassé Check Point en taille, en valorisation et en revenu. Kodak a refusé la photographie digitale au grand bonheur de Sony. Aujourd’hui, Kodak est une entreprise finissante. Le patron de DEC avait refusé l’idée de l’ordinateur personnel… etc.
Les entreprises ne valorisent pas les idées mais attendent simplement l’exécution. Le pire, c’est quand on est en bas de l’échelle, c’est-à-dire contributeur individuel (pour utiliser le langage des DRH), mais qu’on développe une idée qui exige une perspective stratégique pour être comprise et valorisée. En d’autres termes, on est tout en bas de l’échelle hiérarchique, mais on développe une vision de CEO. C’est ce qui est arrivé au fondateur de Palo Alto ! Pour comprendre son idée, il aurait fallu la voir dans un contexte global alors que les managers voient les choses que dans le cadre de KPI ou indicateurs d’exécution.
Quand votre vision est plus grande que votre influence (c’est-à-dire « salaire » ou niveau hiérarchique) dans la compagnie, vous allez systématiquement voir vos idées incomprises et donc rejetées par le mangement proximal.
Par Aldo Sterone
Quel est le point commun entre Check Point, Kodak et DEC ? Ils ont tous refusé des innovations qui allaient boomer par la suite. Check Point a refusé l’idée d’un firewall de nouvelle génération. L’employé a l’origine de l’idée, Nir Zuk, est parti et il a fondé… Palo Alto. Palo Alto a dépassé Check Point en taille, en valorisation et en revenu. Kodak a refusé la photographie digitale au grand bonheur de Sony. Aujourd’hui, Kodak est une entreprise finissante. Le patron de DEC avait refusé l’idée de l’ordinateur personnel… etc.
Les entreprises ne valorisent pas les idées mais attendent simplement l’exécution. Le pire, c’est quand on est en bas de l’échelle, c’est-à-dire contributeur individuel (pour utiliser le langage des DRH), mais qu’on développe une idée qui exige une perspective stratégique pour être comprise et valorisée. En d’autres termes, on est tout en bas de l’échelle hiérarchique, mais on développe une vision de CEO. C’est ce qui est arrivé au fondateur de Palo Alto ! Pour comprendre son idée, il aurait fallu la voir dans un contexte global alors que les managers voient les choses que dans le cadre de KPI ou indicateurs d’exécution.
Quand votre vision est plus grande que votre influence (c’est-à-dire « salaire » ou niveau hiérarchique) dans la compagnie, vous allez systématiquement voir vos idées incomprises et donc rejetées par le mangement proximal.
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