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Avec ou sans les Marocains ?
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#Algérie #Tunisie #Libye #Maroc #Mauritanie #UMA #Sahara #lejournaldepersonne
L’union fait la force : c’est ce que se disent tous les faibles en sachant malheureusement que c’est la force qui fait la force !
Les arabes ont toujours su et perçu le monde politique comme un panier de crabes…
Ce qui fait la loi, c’est bien « le chacun pour soi » que l’on soit de bonne ou de mauvaise foi.
L’arabité n’a jamais suffi à sauver les apparences, malgré la persévérance d’un Nasser en Égypte ou d’un Boumédiène en Algérie.
Qu’ils l’aient voulu ou non leur nationalisme s’est avéré toujours insuffisant… individualiste plutôt qu’altruiste, séparatiste plutôt qu’unioniste. Notre Nation d’abord et on passe le reste par-dessus bord ! Question de vie ou de mort !
Des doux rêveurs comme le libyen Kadhafi l’ont appris à leurs dépens.
A l’époque où il fit valoir lui aussi son panarabisme et son anti-occidentalisme, le tunisien Bourguiba ne l’a pas épargné en lui révélant que ce n’est pas le coup de marteau qui peut transformer les choses, mais son coût, son prix sur le marché.
Avant de revendiquer le moindre instrument de liberté, il faut être capable de se le fabriquer… ce qui laisse penser que la politique ne sera jamais qu’une façade, c’est l’économie qui conditionne nos moindres promenades.
Comme le suggérait le Général de Gaulle, nous sommes tous ennemis les uns des autres. Parce qu’en politique, il n’y a pas d’amis mais seulement des intérêts comme seuls points d’appui.
L’islamité n’a pas non plus suffi pour nouer des relations d’amitié ou de fraternité, ni entre le Maroc et l’Algérie, ni entre le Yémen et l’Arabie, ni entre l’Irak et la Syrie.
Peut-être parce que les plus gourmands ont toujours estimés être les plus grands… tout en professant communément que Dieu est le seul Grand et auprès duquel tout le reste est petit.
Et cette Foi, peu ou pas partagée renouvelle à chaque nouvelle époque son lot d’espérances.
Voilà que l’idée d’une Union Maghrébine Arabe renaît de ses cendres… Tunis, Alger et Tripoli, se remettent à en rêver non seulement pour se préserver mais aussi pour venir à bout de l’adversité régnante.
Y parviendront-ils ? Dieu seul le sait. En tout état de cause, ils se disent prêts à tout pour y parvenir, main dans la main en faisant comme si leur destin était comme UN.
On prie en attendant que les Marocains, les Mauritaniens et les Sahraouis rejoignent « la Grande Fratrie » pour dire à Israël : « nous voici, nous revoilà ! »
L’union fait la force : c’est ce que se disent tous les faibles en sachant malheureusement que c’est la force qui fait la force !
Les arabes ont toujours su et perçu le monde politique comme un panier de crabes…
Ce qui fait la loi, c’est bien « le chacun pour soi » que l’on soit de bonne ou de mauvaise foi.
L’arabité n’a jamais suffi à sauver les apparences, malgré la persévérance d’un Nasser en Égypte ou d’un Boumédiène en Algérie.
Qu’ils l’aient voulu ou non leur nationalisme s’est avéré toujours insuffisant… individualiste plutôt qu’altruiste, séparatiste plutôt qu’unioniste. Notre Nation d’abord et on passe le reste par-dessus bord ! Question de vie ou de mort !
Des doux rêveurs comme le libyen Kadhafi l’ont appris à leurs dépens.
A l’époque où il fit valoir lui aussi son panarabisme et son anti-occidentalisme, le tunisien Bourguiba ne l’a pas épargné en lui révélant que ce n’est pas le coup de marteau qui peut transformer les choses, mais son coût, son prix sur le marché.
Avant de revendiquer le moindre instrument de liberté, il faut être capable de se le fabriquer… ce qui laisse penser que la politique ne sera jamais qu’une façade, c’est l’économie qui conditionne nos moindres promenades.
Comme le suggérait le Général de Gaulle, nous sommes tous ennemis les uns des autres. Parce qu’en politique, il n’y a pas d’amis mais seulement des intérêts comme seuls points d’appui.
L’islamité n’a pas non plus suffi pour nouer des relations d’amitié ou de fraternité, ni entre le Maroc et l’Algérie, ni entre le Yémen et l’Arabie, ni entre l’Irak et la Syrie.
Peut-être parce que les plus gourmands ont toujours estimés être les plus grands… tout en professant communément que Dieu est le seul Grand et auprès duquel tout le reste est petit.
Et cette Foi, peu ou pas partagée renouvelle à chaque nouvelle époque son lot d’espérances.
Voilà que l’idée d’une Union Maghrébine Arabe renaît de ses cendres… Tunis, Alger et Tripoli, se remettent à en rêver non seulement pour se préserver mais aussi pour venir à bout de l’adversité régnante.
Y parviendront-ils ? Dieu seul le sait. En tout état de cause, ils se disent prêts à tout pour y parvenir, main dans la main en faisant comme si leur destin était comme UN.
On prie en attendant que les Marocains, les Mauritaniens et les Sahraouis rejoignent « la Grande Fratrie » pour dire à Israël : « nous voici, nous revoilà ! »
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