Algérie-Maroc : vers une nouvelle guerre des Sables ?

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Je suis franco marocain, ces histoires sont elles prioritaires face à nos peuples qui exigent plus de droit fondamentaux ( travail logements...) reveillez vous cela est une tactique des nations occidentales qui font leur marché chez nous. Rabi yara7mhom et que cela s'arrete

محمدمليكنه
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Vous colportez une rumeur. Vous parlez d'un tir marocain, mais vous n'avancez aucune preuve. Ce n'est pas du journalisme

koeut
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J’espère que nos deux pays ne s’affronteront jamais, et qu’ils reviennent à la raison, notre union fera notre force

nabilchabou
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Depuis son indépendance, le Maroc a vendu son âme à l'impérialisme décadent alors que l'Algérie a tenté de résister en défendant le non alignement (bien qu'étant elle même d'aspiration plutôt révolutionnaire/socialiste).

ler
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Le problème c'est pas les peuples mais le gouvernement marocain qui a choisi le sionisme, l'Algérie ne laissera jamais le sionisme s'installer en Afrique du Nord

jugurthamassinissa
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عندي سؤال لكل جزائري و مغربي من فظلكم : - يوم الحشر أي عند دخولنا القبر فما هو السؤال: من هو ربك؟ ما دينك؟ من هو نبيك؟
أم: أنت جزائري أم مغربي ؟؟؟؟ لا و و ألف فنحن إخوة لنا رب واحد عز وجل و ديننا واحد الاسلام و نبينا وحد محمد رسول صلى الله عليه وسلم وبارك على سيدنا محمد وعلى آله وصحبه أجمعين.
لا حول ولا قوة الا بالله العلي العظيم: بالرغم من أنني جزائري حتى النخاع لكني أبدا نفرق بين جزائري أو مغربي قبل كل شيئ مسلم قبل كل شيئ فلنكن نقطة وصل و ليس نقطة فصل .
فلنترك المسؤولين على حدة و لننضر إلى الشرع بل من كان السبب فليحظر نفسه لمقابلة الواحد الأحد الصمد الذي لم يلد و لم يولد و لم يكن له كفوا أحد.

- هذه فر رقبتك انشر هذا المنشور ليس كل أخ و أخت مسلمة اراد أن يفصل بين المسلمين و لتكون نقطة وصل بين الشعبين الكريمين .
في ميزان حسنات مل من قرأها فاستفاد منها و طبقها على نفسه ثم نشرها ليستفيد غيره.

rachidkebaili
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Le maroc et israel cherche à poussé à la faute le gouvernement Algérien afin de le discrédité par la suite au niveau international et à l'ONU concernant sont soutien au Sahara Occidentale.
Mais la diplomatie marocaine ne comprend pas que le régime Algérien est loin d'être né de la dernière pluie, ce n'est que partie remise.

marocisraeledfsxdc
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Chengayha et ses suiveurs ont aucune preuve de leur accusation. Et même si c'était vrai leurs camionneurs n'avaient rien à faire dans notre Sahara marocain qui est une zone de guerre d'après eux. La frontière est fermée donc leurs camionneurs-terroristes doivent passer par ailleurs que nos terres point final. Si ils veulent la guerre ils l'auront qu'ils agissent au lieu de nous menacer car leur armée l'ANPD ne nous fait pas peur 🤣

moorishopponent
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Il n'y a eu aucun morts, c'est une mise en scène comme l'histoire de Ben Battouch.
Des camions calcinés avec des extincteurs à côté de deux camions.

modmoudou
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Conflit voulu par le gouvernement algérien car il a coulé le pays économiquement et n'ose pas l'avouer au peuple par peur de révolte
Donc on trouve un enemi sur qui se défouler

Bibi-wxim
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Depuis la création de l'Algérie c'est le bordel

maroclion
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LA «GUERRE DES SABLES»
L’Algérie oublia l’élégance de la position marocaine pour se poser en héritière de la France, refusant de reconnaître que le Maroc, Etat existant depuis le VIIIe siècle, avait été territorialement amputé par l’ex-puissance coloniale au profit d’un Etat algérien venu au monde le 1er juillet 1962.
En 1960, l’Algérie étant encore française, le général de Gaulle proposa au Maroc une négociation directe afin de régler définitivement le contentieux frontalier algéro-marocain résultant des amputations territoriales subies par le Maroc au profit de l’Algérie et datant de la colonisation. Le sultan Mohammed V refusa car il ne voulait pas négocier «dans le dos» des Algériens, et il répondit au général de Gaulle de la manière la plus nette que: «toute négociation qui s'engagerait avec le gouvernement français en ce qui concerne les prétentions et les droits du Maroc sera considérée comme un coup de poignard dans le dos de nos amis algériens qui combattent, et je préfère attendre l'indépendance de l'Algérie pour poser à mes frères algériens le contentieux frontalier».







Le 6 juillet 1961, le roi Hassan II ayant succédé à son père Mohammed V, le Maroc signa avec le GPRA (Gouvernement provisoire de la République algérienne) un accord stipulant que les problèmes frontaliers existant entre les deux pays seraient résolus par la négociation dès que l'Algérie aurait acquis son indépendance.







Plein d’illusions, le Maroc, pensait alors que l'indépendance à venir de l'Algérie allait permettre de régler l’ensemble de la question entre «pays frères», puisque le contentieux résultait de décisions coloniales.







Or, une fois indépendante, l’Algérie oublia l’élégance de la position marocaine pour se poser tout au contraire en héritière de la France, refusant de reconnaître que le Maroc, Etat existant depuis le VIIIe siècle, avait été territorialement amputé par l’ex-puissance coloniale au profit d’un Etat algérien venu au monde le 1er juillet 1962… Douze cents ans après sa propre naissance...







Au pouvoir après le coup d’Etat de l’été 1962 qui vit l’Armée des frontières renverser le GPRA, Ahmed Ben Bella ne s’estima pas lié par les engagements pris par le GPRA, et il refusa d’appliquer l’accord du 6 juillet 1961 comme le lui demandait le Maroc.







Les rapports se tendirent alors entre Alger et Rabat et le 8 octobre 1963, l’armée algérienne lança une attaque surprise contre les petites garnisons marocaines d’Hassi-Beida, Tinjoub et Tinfouchy. La «guerre des sables» venait d’éclater.







Le 14 octobre les FAR (Forces armées royales), reprirent les positions perdues, puis elles avancèrent vers la piste Béchar-Tindouf à la hauteur d’Igli, cependant que, pour tenter de soulager la pression militaire qu’ils subissaient, les Algériens ouvraient un nouveau front à Ich.







Le 25 octobre, les FAR remportèrent deux importantes victoires, l’une à Hassi Beida, l’autre à Tinjoub et le 28 octobre, elles étaient à portée de Tindouf.

Le général Kettani proposa alors au roi Hassan II une offensive à travers le Sahara afin de reconquérir les régions marocaines que la France avait rattachées à l'Algérie, à savoir, entre autres, la Saoura, le Touat, le Tidikelt et le Gourara.







Le souverain lui fit alors la réponse suivante:



«(...) ça ne servira à rien, moi je pars du principe, peut-être cynique, que lorsqu'on fait la guerre à quelqu'un c'est pour avoir la paix pendant au moins une génération. Si on n'est pas assuré de la tranquillité pendant trente ans après avoir mis au tapis son adversaire, il vaut mieux éviter de lancer une opération militaire, parce qu'on défigure le présent, on compromet l'avenir, on tue des hommes, on dépense de l'argent, pour recommencer quatre ou cinq années après». (Hassan II, La mémoire d’un roi, Paris, 1993, page 86).







Le Maroc qui avait l’avantage militaire se trouva diplomatiquement isolé alors que l’Algérie bénéficiait au contraire du soutien du bloc de l’Est, de la Ligue arabe et de l’OUA (Organisation de l'unité africaine). Cuba envoya des troupes et des blindés à l’Algérie. Le Maroc rompit ses relations diplomatiques avec Cuba et rappela son ambassadeur au Caire après la capture par les FAR d’un hélicoptère algérien transportant des officiers égyptiens.







Une médiation fut ensuite menée par le président Modibo Keita du Mali et par l’empereur d’Ethiopie Haïlé Sélassié. Finalement, sous la pression de l’OUA, et alors que le Maroc était l’agressé, le roi Hassan II accepta un cessez-le-feu qui fut négocié les 29 et 30 octobre, à Bamako.







Le 1er novembre 1963, les troupes marocaines évacuèrent leurs gains territoriaux en Algérie et elles se retirèrent sur les lignes qu’elles occupaient à la veille du conflit. L’OUA mit en place une zone démilitarisée sur la frontière entre Figuig et Tindouf, sur 1000 kilomètres de long, surveillée par des observateurs éthiopiens et maliens.







Le 15 janvier 1969, un traité de paix fut conclu entre le Maroc et l’Algérie.







En n’allant pas au bout de sa contre-offensive militaire, et alors que l’armée algérienne avait été défaite, le Maroc avait fait un geste d’ouverture, espérant en retour que l’Algérie le soutiendrait dans son futur combat pour la récupération de ses provinces sahariennes alors sous souveraineté espagnole. Ce fut une nouvelle illusion, car Alger fut le parrain de la RASD et le soutien militaire du Polisario. L’on frôla alors une nouvelle guerre quand, le 27 octobre 1976, l’armée algérienne qui occupait Amgala, au Sahara occidental, pour le compte du Polisario, en fut chassée par les FAR.



Par Bernard Lugan.

leseulmaghribhistorique
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La suite des événements sera très intéressant 😂. Le Maroc a ouvert les portes de l’enfer.

samyzurich
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يجب الضغط على المخزن بإعادة عشرات الألاف من المغاربة إلى بلادهم الموجودين بالجزائر بطريقة غير قانونية علماء أنه سيتم إستعمال البعض منهم من الموصاد الاسرائيلي و المخابرات المخزنية مسألة وقت فقط إذن رحلوهم

mahfoudbmz
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Le Maroc pense être costaud grâce a l'Europe et surtout gracce a Israël..
Mais ils ont oublié un allié majeur pour les algérien : la Chine.. Et la russie..
Les marocains.. Vont se faire soulever d'une Courage aux peuples marocains qui na rien demander.
Malheur a votre gouvernement.

sagesse
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Algerie a plus corde a son arc la vengence est UN plat qui SE mange glace cordialement

osmanbeys
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Personne ne prend ce conflit au sérieux.
Le monde n'en a rien a foutre.
COP26 et Gretta suscitent plus d'interêt.
Donc on se calme les zozos.

elbagrau
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L'Algérie et la Mauritanie ont une frontière commune, pourquoi emprunter le sud du Maroc pour revenir en Algérie ?

moroccanatlantis
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Il faut que tout les algériens aides les marocains à renverser la royauté marocain.

ferietony
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La réponse Algérienne va être à la hauteur ou il faut se montrer, la vengeance aura lieu.
Paix aux familles des 3 civiles Martyrs que justice leurs soit fait.

IkmatiK