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Le boulevard Saint-Jean d'autrefois
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Le rang Saint-Jean est un des chemins de l’axe nord-sud de l’Ouest-de-l’île à prendre forme après la signature de la Grande Paix de Montréal, en 1701. Jusqu’aux années 1960, ce secteur rural est voué à la culture des céréales et à l’agriculture maraîchère.
Le temps s’était figé depuis plus de deux cents cinquante ans. Vers 1965, coup de tonnerre, la route Transcanadienne impose son urbanité. Le rang est converti en un large boulevard urbain. Les familles vivent un grand dérangement. Par conséquent il y a expropriations et démolitions de maisons ancestrales et les fermes disparaissent pour faire place aux nouvelles résidences.
Tout n’est pas oublié. Témoignage de la petite et grande histoire, photos d’époque et extraits de films 8 mm sont rassemblés dans ce documentaire historique. On y retrouve des traces de familles de l’époque, soient les Trottier, Robitaille, Théoret, Aumais, Lirette, Paiement, Fabre, Cousineau, Laniel, Legault, Chauret, Labrosse, Koppes et Bonneau entre autres.
« Époque révolue, mais ô combien colorée et spectaculaire dont l’écrasement d’un avion militaire, cinéma (tournage des scènes extérieures du film Aurore, l’enfant martyre), le massacre au bulldozer de maisons ancestrales, capture d’un orignal, les élèves de l’école chante « L’eau vive » de Guy Béart et finalement on y voit le forgeron Baptiste Aumais cogner sur l’enclume. » - Jocelyn Paiement
Le temps s’était figé depuis plus de deux cents cinquante ans. Vers 1965, coup de tonnerre, la route Transcanadienne impose son urbanité. Le rang est converti en un large boulevard urbain. Les familles vivent un grand dérangement. Par conséquent il y a expropriations et démolitions de maisons ancestrales et les fermes disparaissent pour faire place aux nouvelles résidences.
Tout n’est pas oublié. Témoignage de la petite et grande histoire, photos d’époque et extraits de films 8 mm sont rassemblés dans ce documentaire historique. On y retrouve des traces de familles de l’époque, soient les Trottier, Robitaille, Théoret, Aumais, Lirette, Paiement, Fabre, Cousineau, Laniel, Legault, Chauret, Labrosse, Koppes et Bonneau entre autres.
« Époque révolue, mais ô combien colorée et spectaculaire dont l’écrasement d’un avion militaire, cinéma (tournage des scènes extérieures du film Aurore, l’enfant martyre), le massacre au bulldozer de maisons ancestrales, capture d’un orignal, les élèves de l’école chante « L’eau vive » de Guy Béart et finalement on y voit le forgeron Baptiste Aumais cogner sur l’enclume. » - Jocelyn Paiement
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