Le monde est foutu et personne ne dit rien

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Dans ce podcast, j'analyse comment on en est arrivé à la crise, à ce sentiment de dépassement.
En effet, j'entends de la part de beaucoup de personnes, âgées ou jeunes, un sentiment de désespoir quant à l'avenir. Et j'ai voulu analyser dans ce podcast la raison, le pourquoi du comment.
Et je pense qu'en réalité, tout cela est dû à un énorme sentiment de dépassement qui nous rend pessimistes.
Entre l'évolution fulgurante des technologies due au capitalisme, ce même capitalisme d'ailleurs qui tue sans vergogne,
le choc des civilisations, qui confronte pour la première fois dans l'histoire de l'humanité beaucoup de cultures différentes,
et, pour finir, la montée des extrêmes.
Bref, tout cela fait qu'on ne peut qu'être inquiet pour l'avenir, sauf que je vous le dis, rien n'est perdu.

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Pour me soutenir aussi:

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Chapitres :
00:00 : Le monde est foutu et personne ne dit rien
01:00 : L'évolution technologique
07:06 : Dieu et le choc des civilisations
12:58 : Le capitalisme : le poison caché
23:00 : Les extrêmes

#capitalisme #philosophie #marx #religion

[KiraYumino]

Les cinq prochaines années vont être totalement folle

[jonnejonnePro]

Quand on regarde l'évolution des émissions de gaz à effet de serre dans le monde, on peut se dire qu'il va falloir se préparer au scénario +4 degrés ( le pire possible ou l'équateur devient juste invivable ), on ajoute à ça que les réserves énergétiques et minérales baisses (les économie de chaque nations sont donc de plus en plus en tension ) expliquant la montée des extrêmes prônant toujours la consommation massive ( parce-que la mentalité est à la consommation ), donc oui il y raison de s'inquiéter.

[Im_just...]

J'ai vu une imitation de "the man with the upsidedown face" juste pour ça que j'ai premièrement cliqué

[nataliedoutre]

Merci le miroir pour votre travail toujours juste

[WebDesignMarketingAgency]

Les hommes qui choisissent de suivre le mouvement MGTOW (« Men Going Their Own Way ») sont souvent accusés de misanthropie, de lâcheté, voire de régression sociale. Pourtant, leur décision mérite une réflexion nuancée, loin des clichés réducteurs. Dans un monde où les codes des relations hommes-femmes évoluent rapidement, le MGTOW incarne avant tout une réponse individuelle à des défis collectifs complexes.

Tout d’abord, critiquer le MGTOW revient souvent à nier un droit fondamental : celui de prioriser son épanouissement personnel. En choisissant de se retirer des dynamiques relationnelles traditionnelles, ces hommes ne rejettent pas les femmes, mais un système qu’ils perçoivent comme déséquilibré. Les attentes sociétales envers les hommes – pourvoyeurs, protecteurs, stables – coexistent aujourd’hui avec des mutations profondes : l’émancipation féminine, la remise en cause des rôles genrés, ou encore les débats sur les responsabilitités parentales et conjugales. Face à ce chaos normatif, le MGTOW apparaît moins comme un rejet de l’autre sexe que comme une stratégie de survie psychologique et émotionnelle.

Par ailleurs, réduire ce choix à de la misogynie est une erreur intellectuelle. Nombre d’hommes MGTOW citent des expériences de relations toxiques, des divorces traumatiques, ou un sentiment d’injustice dans les lois familiales. Ces récits soulèvent des questions légitimes sur les rapports de pouvoir au sein du couple et les déséquilibres institutionnels. Par exemple, les hommes confrontés à des systèmes juridiques perçus comme favorisant les femmes dans les divorces ou les droits de garde peuvent en venir à associer l’engagement relationnel à un risque existentiel.

Le MGTOW devient alors une réaction rationnelle face à un contexte où le coût émotionnel, financier et social des relations semble disproportionné.

Les détracteurs du mouvement accusent souvent ses adeptes de fuir leurs responsabilités ou de nourrir un ressentiment toxique. Pourtant, cette critique ignore une réalité clé : le MGTOW n’est pas une idéologie monolithique. Certains hommes y voient une voie pour se reconnecter avec leurs aspirations propres, à l’abri des pressions sociales contradictoires.

D’autres y trouvent un moyen de dénoncer des injustices systémiques, comme les discriminations en matière de garde d’enfants ou les stéréotypes persistants sur la virilité. Plutôt que de les caricaturer, il serait plus constructif de s’interroger sur les raisons qui poussent des individus à se détourner d’un modèle relationnel traditionnel.

En outre, le MGTOW invite à repenser la manière dont la société traite la masculinité. Les hommes y expriment souvent un besoin de liberté : liberté de ne pas correspondre à des attentes écrasantes, liberté de ne pas se soumettre à des rôles archaïques, liberté de ne pas sacrifier leur bien-être pour un idéal familial désuet. Cette quête n’est pas une attaque contre les femmes, mais un appel à une réciprocité authentique. Pourquoi un homme devrait-il être automatiquement le garant de la stabilité matérielle ou émotionnelle d’une relation, alors que les femmes revendiquent légitimement leur indépendance ?

Les critiques du MGTOW oublient aussi que ce mouvement ne prône pas la solitude absolue, mais une redéfinition des interactions hommes-femmes. Certains hommes choisissent des relations non conventionnelles, fondées sur l’égalité et le consentement mutuel, loin des schémas hiérarchiques. Cela rejoint d’ailleurs des aspirations féministes à déconstruire les rapports de domination. En ce sens, le MGTOW pourrait être vu comme un symptôme des tensions dans l’évolution des mœurs, plutôt que comme un problème en soi.

Enfin, juger ces hommes sans écouter leurs motivations revient à nier leur agence individuelle. Chacun a le droit de définir ses priorités, même si elles dérangent. À l’ère des réseaux sociaux, où les discours binaires et les amalgames domine, ne laissez pas le petit mot correct vous museler.

[yannduchnock]

J'ai hâte de voir la suite. Je ne vois pas trop ce qui marche mieux que le capitalisme. Dison une économie dirigée directement par la population avec les moyens modernes ce serait bien. Les débats seraient publics. Style forum romain, avec en plus les femmes et autres nuances... 🙂

[sucaralt]

Bonjour, votre vidéo accumule des arguments assez simplistes et globalement éculés sur la critique du capitalisme comme système d'aliénation et de destruction. Ils ne sont pas dénués de fondements mais ne représentent qu'une vision partiale du monde contemporain issu de la transformation industrielle. Le monde nouveau de cette modernité particulière, en constante expansion, y compris dans les pays encore traditionnels a opéré une vague massive (plus encore) de changements positifs que négatifs. L'humanité consommatrice s'est considérablement enrichie, la pauvreté, l'illettrisme ont considérablement reculés. Nous avons crû comme jamais auparavant et demain, quand la transition démographique sera complète nous serons content d'avoir l'IA et la robotique pour gérer une humanité plus mure et moins juvénile. Chaque siècle depuis que cette modernité a éclos s'est cru le dernier, chaque génération s'est vu actrice de la décadence. C'est normal, nous vivons un vertige.
Tout ceci ne signifie pas que le futur est rose, que l'anthropocène n'existe pas et qu'il suffit de se laisser porter par la main de Smith. Mais il faut faire la part des choses, par un regard sur le passé récent et constater l'extraordinaire potentiel que le capitalisme a permis. Et lui seul.

[michelgenton]

Tant mieux. L’humain est trop méchant. Je suis content d’être vieux.

[EtéFleuri]

Avant ...nous étions heureux : avant les annees 90.

[jonnejonnePro]

Avant la révolution française, le système économique en France était "libéral" sous "Contrainte" Grâce à l'Eglise.
Par exemple quand on compare l'Angleterre et la France, les paysans français contrairement aux anglais était protégé des désirs des bourgeois et des nobles (à voir l'anecdote sur l'appropriation de pâturages aux détriment des paysans). Donc pour moi, un système qui impose des normes, des taxes peux réduire les effets néfastes du capitalisme tout en ne détruisant pas ses bienfaits.

[atlas]

Excellente vidéo. Je le savais mais tu viens de me le rappeler avec brio.

Mais du coup on fait quoi quand on a conscience de cette merde ambiante? Perso a part vivre a fond ma passion dans un coin je vois pas d'autres options. Le monde est foutu. Avec un peu de chance ce sera pas moi, ni mes gosses mais après ...

Bref a part d'un point de vue perso en étant dans le déni et en traçant sa route dans un milieu de niche. Si on réfléchit à l'humanité " globale " effectivement ya de quoi se pendre

[WebDesignMarketingAgency]

Je pense qu'il faut enfermer tous les politiciens, les hauts fonctionnaires et les milliardaires qui dirigent ce pays au Parlement et les enfumés.

[nadiaslim]

Bon difficilement arrivé à 18 min, pas d’accord du tout, tes slogans sur ke capitalisme pourraient s’appliquer à n’importe quelle idéologie, toutes, trop simpliste et émotif comme pour tous ceux qui ne se posent pas la question de l’alternative possible

[EtéFleuri]

Mines de lithium... pour les voitures électriques, oeliennes....

[helioslegigantosaure]

Personne arêtes le progrès excepté le progrès.

[M_A_B__]

Ouah ! Va-t-on vers un futur sans avenir (ou celui du livre de Jacques STERNBERG 😢)

[scrim_fight]

Pourrait tu faire des vidéos sur les organisations secrète type illuminatie, les skull and bones, le bohemian club ect… si tu creuses assez profondément y’a beaucoup de dossiers a sortir même avec des organisations Française

[DSD]

Il y aura peut-être un vrrai/fausse mort comme le redébut de Naruto après l'ellipse

[restonndemon]

ce commentaire contribue au référencement.

[Le-Lion-de-Roubaix-Junior]

je ne sais pas comment tu fais pour faire TOUJOURS des vidéos aussi remarquables ....