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Prière mensuelle du 29 à saint Michel archange
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Bonjour à tous qui priez saint Michel et lui demandez aide et protection contre Satan et tous ses démons qui nous nuisent continuellement.
Le 4 mars dernier, la France a inscrit dans sa constitution la "liberté garantie" à l'interruption volontaire de grossesse. C’est le temps d’un nouveau massacre des innocents qui recommence.
Avec Marie, au pied de la Croix, en silence, nous avons le cœur lourd devant le meurtre de ces millions de bébés dans le sein de leur mère.
Mais gardons confiance en Dieu qui peut faire jaillir de tout mal un plus grand bien. La preuve : c’est à la Croix qu’il nous a donné sa vie éternelle et a vaincu tout mal, tout péché et toute mort.
Nous sommes au mois de mars, mois dédié à saint Joseph. Pour cette rencontre placée sous le signe du chef de la Sainte Famille, Joseph, qui a si bien su obéir aux ordres de Dieu en emmeneant « la mère et l’enfant en Egypte », nous prions saint Michel archange pour la France et la paix dans tous les cœurs. Car,
Mère Teresa dit : "Si une mère peut tuer l'enfant en son sein, la porte est ouverte à toutes les guerres."
Nous tournons nos cœurs vers Dieu, cela est juste et bon et nous entrons dans la prière. La Parole nous dit de prire pour nos dirigeants :
1 Timothée 2, 1-3 : « J'exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté. Cela est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur. »
L'ordre de Saint-Michel est un ordre de chevalerie, fondé
à Amboise le 1er août 1469 par Louis XI, sous le nom d'« Ordre et aimable compagnie de monsieur saint Michel ».
Fils de Charles VII ( Jeanne d’Arc) et de Marie d'Anjou, il fut baptisé en la cathédrale Saint-Étienne de Bourges. Durant son enfance, il fut élevé par Catherine de l'Isle-Bouchard, sa marraine, son parrain étant le duc Jean II d'Alençon.
Les membres de l'ordre de Saint-Michel se disaient « chevaliers de l'ordre du Roi ». Son siège était établi à l'abbaye du Mont-Saint-Michel.
La fête de cet ordre était le 29 septembre, jour de la fête patronale de l'archange saint Michel, saint patron du royaume de France jusqu'au vœu de Louis XIII.
Il fut fondé en réplique à la fondation de l'ordre bourguignon de la Toison d'Or. Ses statuts étaient copiés presque mot pour mot sur ceux de l'ordre bourguignon. Le roi de France le dirigeait et les chevaliers, au nombre de trente-six, devaient lui prêter serment. Son siège, qui était établi dans la grande salle de l'abbaye du Mont-Saint-Michel où se trouvaient peintes les armes de tous les anciens chevaliers, fut par la suite transféré par Louis XIV aux Cordeliers de Paris (14 juillet 1661). Cela permettait au roi de se créer un réseau de fidélités qui n'étaient plus directement liées aux fidélités féodales.
À partir de 1560, dans le contexte troublé des guerres de Religion la limite de 36 membres est abandonnée et l'Ordre intègre de nombreux courtisans parfois non-combattants. Il perd ainsi de son prestige. L'Ordre fut alors, dit-on, bien déchu de la considération dont il jouissait jusqu'au milieu du xvie siècle, par des nominations trop faciles de Catherine de Médicis.
À la fondation de l'ordre du Saint-Esprit en 1578 par Henri III, les statuts prescrivirent que ses cent chevaliers devaient préalablement être membres de Saint-Michel, qui passe alors au second rang.
À partir du règlement de Louis XIV du 14 juillet 1661 et des nouveaux statuts du 12 janvier 1665, l'Ordre est décerné plus particulièrement à des écrivains, artistes et magistrats. Le collier n'est plus que rarement porté ; on lui substitue un ruban noir qui vaut à l'Ordre son surnom de « cordon noir ». Le médaillon est remplacé par une croix en or émaillé.
« Au XVIIIème siècle, la très grande majorité des chevaliers de Saint-Michel sont des anoblis, aussi ils bénéficient lors de leur réception d'une dispense du roi pour les deux degrés qui leur manquent. Il arrive aussi assez souvent que le roi nomme dans l'ordre des roturiers.
Le 4 mars dernier, la France a inscrit dans sa constitution la "liberté garantie" à l'interruption volontaire de grossesse. C’est le temps d’un nouveau massacre des innocents qui recommence.
Avec Marie, au pied de la Croix, en silence, nous avons le cœur lourd devant le meurtre de ces millions de bébés dans le sein de leur mère.
Mais gardons confiance en Dieu qui peut faire jaillir de tout mal un plus grand bien. La preuve : c’est à la Croix qu’il nous a donné sa vie éternelle et a vaincu tout mal, tout péché et toute mort.
Nous sommes au mois de mars, mois dédié à saint Joseph. Pour cette rencontre placée sous le signe du chef de la Sainte Famille, Joseph, qui a si bien su obéir aux ordres de Dieu en emmeneant « la mère et l’enfant en Egypte », nous prions saint Michel archange pour la France et la paix dans tous les cœurs. Car,
Mère Teresa dit : "Si une mère peut tuer l'enfant en son sein, la porte est ouverte à toutes les guerres."
Nous tournons nos cœurs vers Dieu, cela est juste et bon et nous entrons dans la prière. La Parole nous dit de prire pour nos dirigeants :
1 Timothée 2, 1-3 : « J'exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté. Cela est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur. »
L'ordre de Saint-Michel est un ordre de chevalerie, fondé
à Amboise le 1er août 1469 par Louis XI, sous le nom d'« Ordre et aimable compagnie de monsieur saint Michel ».
Fils de Charles VII ( Jeanne d’Arc) et de Marie d'Anjou, il fut baptisé en la cathédrale Saint-Étienne de Bourges. Durant son enfance, il fut élevé par Catherine de l'Isle-Bouchard, sa marraine, son parrain étant le duc Jean II d'Alençon.
Les membres de l'ordre de Saint-Michel se disaient « chevaliers de l'ordre du Roi ». Son siège était établi à l'abbaye du Mont-Saint-Michel.
La fête de cet ordre était le 29 septembre, jour de la fête patronale de l'archange saint Michel, saint patron du royaume de France jusqu'au vœu de Louis XIII.
Il fut fondé en réplique à la fondation de l'ordre bourguignon de la Toison d'Or. Ses statuts étaient copiés presque mot pour mot sur ceux de l'ordre bourguignon. Le roi de France le dirigeait et les chevaliers, au nombre de trente-six, devaient lui prêter serment. Son siège, qui était établi dans la grande salle de l'abbaye du Mont-Saint-Michel où se trouvaient peintes les armes de tous les anciens chevaliers, fut par la suite transféré par Louis XIV aux Cordeliers de Paris (14 juillet 1661). Cela permettait au roi de se créer un réseau de fidélités qui n'étaient plus directement liées aux fidélités féodales.
À partir de 1560, dans le contexte troublé des guerres de Religion la limite de 36 membres est abandonnée et l'Ordre intègre de nombreux courtisans parfois non-combattants. Il perd ainsi de son prestige. L'Ordre fut alors, dit-on, bien déchu de la considération dont il jouissait jusqu'au milieu du xvie siècle, par des nominations trop faciles de Catherine de Médicis.
À la fondation de l'ordre du Saint-Esprit en 1578 par Henri III, les statuts prescrivirent que ses cent chevaliers devaient préalablement être membres de Saint-Michel, qui passe alors au second rang.
À partir du règlement de Louis XIV du 14 juillet 1661 et des nouveaux statuts du 12 janvier 1665, l'Ordre est décerné plus particulièrement à des écrivains, artistes et magistrats. Le collier n'est plus que rarement porté ; on lui substitue un ruban noir qui vaut à l'Ordre son surnom de « cordon noir ». Le médaillon est remplacé par une croix en or émaillé.
« Au XVIIIème siècle, la très grande majorité des chevaliers de Saint-Michel sont des anoblis, aussi ils bénéficient lors de leur réception d'une dispense du roi pour les deux degrés qui leur manquent. Il arrive aussi assez souvent que le roi nomme dans l'ordre des roturiers.
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