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La (dé)connexion, objet de transition négociée dans les espaces protégés de montagne
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La (dé)connexion, objet de transition négociée dans les espaces protégés de montagne
Présentation par Marie Forget et Kilian Ayroles lors du colloque international organisé le 1er et 2 décembre 2022 par le Labex ITTEM en partenariat avec la MSH-Alpes, le GRESEC, le LARHRA, l'UGA et la SFSIC.
Ce colloque propose une réflexion critique sur les injonctions aux changements socio-environnementaux au sein des territoires de montagne et sur la transition comme catégorie d’analyse de ces changements. Le contexte montagnard invite en effet à examiner plus précisément les réalités territoriales de la transition, leurs actualités et les défis qu’elles posent aux sociétés montagnardes : tourisme, énergie, mobilité, environnement, santé, alimentation, ressource en eau, aménagement du territoire, sciences, numérique, etc.
Ces transitions sont-elles aussi inédites, linéaires et consensuelles qu’annoncées ? Quelles clés de lecture l’examen des processus de transition antérieurs peuvent-ils apporter sur l’invention actuelle des territoires ? En quoi le renouvellement discursif et communicationnel participe-t-il de ces dynamiques socio-politiques ? En quoi les territorialités montagnardes se singularisent et se distinguent-t-elle d’autres territoires s’affichant eux-aussi en « transition » ?
Présentation par Marie Forget et Kilian Ayroles lors du colloque international organisé le 1er et 2 décembre 2022 par le Labex ITTEM en partenariat avec la MSH-Alpes, le GRESEC, le LARHRA, l'UGA et la SFSIC.
Ce colloque propose une réflexion critique sur les injonctions aux changements socio-environnementaux au sein des territoires de montagne et sur la transition comme catégorie d’analyse de ces changements. Le contexte montagnard invite en effet à examiner plus précisément les réalités territoriales de la transition, leurs actualités et les défis qu’elles posent aux sociétés montagnardes : tourisme, énergie, mobilité, environnement, santé, alimentation, ressource en eau, aménagement du territoire, sciences, numérique, etc.
Ces transitions sont-elles aussi inédites, linéaires et consensuelles qu’annoncées ? Quelles clés de lecture l’examen des processus de transition antérieurs peuvent-ils apporter sur l’invention actuelle des territoires ? En quoi le renouvellement discursif et communicationnel participe-t-il de ces dynamiques socio-politiques ? En quoi les territorialités montagnardes se singularisent et se distinguent-t-elle d’autres territoires s’affichant eux-aussi en « transition » ?