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Bolivie, la route de la mort | Les routes de l'impossible
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00:00 Il y a deux mondes en Bolivie. Celui de l'Altiplano, les terres hautes, perchées à plus de 4000 mètres d'altitude. Et celui du bassin amazonien, qui plafonne à quelques centaines de mètres au-dessus du niveau de la mer. Entre les deux, il existe une région de transition, faite de précipices vertigineux et de sentiers qui dévalent la Cordillère Andine en quelques dizaines de kilomètres. C'est la région des Yungas, un pays où l'horizontale n'existe pas.
00:55 Dans la région des Yungas, les hommes préfèrent voler que marcher
03:27 Cette région est partagée entre la cordillère des Andes et les plaines d’Amazonie
06:31 La coca est la plante la plus populaire chez les travailleurs Boliviens voulant combattre la fatigue
10:38 La collecte des mandarines est particulièrement difficile dans la vallée
12:45 C’est grâce au président Evo Morales que les cultivateurs de coca ont pu améliorer leurs situations
18:00 Marco affronte tous les jours les dangers de la route pour donner le meilleur à ses enfants
23:30 Au début du chemin de la mort, les chauffeurs font toujours des offrandes pour les esprits
26:30 Marco entame une plongée vertigineuse vers les vallées de Yungas
31:20 De nombreux touristes empruntent ce chemin mortel à vélos
34:31 Le bétail est le roi des plaines d’Amazonie
45:10 Avant de remonter dans la montagne, il va retrouver sa famille
46:53 Pour les hommes et le bétail le trajet est particulièrement dur
50:18 La vie en Bolivie est très difficile pour les habitants de la région de la Paz
Dans ces vallées serpente une route, seul moyen de communication entre La Paz, capitale administrative du pays, perchée sur l'Altiplano, et les richesses du bassin amazonien. Les Boliviens l'ont surnommée « el camino de la muerte », le chemin de la mort. Point culminant : le col de La Cumbre, 4700 mètres, à la sortie de La Paz. 78 kilomètres plus loin, on est à peine à 900 mètres. Le long de cette route de l'impossible, nous suivons l'histoire d'une communauté de cocaleros, des cultivateurs de cocas accrochés aux pentes de la montagne. Pour passer leurs charges jusqu'à la route, ils ont tendu à travers la vallée des câbles de fortune faits de simples fils de fer. Une tyrolienne infernale, de près de 400 mètres de long, à 200 mètres au-dessus du sol. Nous partageons également le quotidien d'un vachero, un chauffeur routier qui transporte des vaches du bassin amazonien vers La Paz, la métropole la plus haute du monde. 25 heures de trajet sur la route de la mort, effectués sans s'arrêter. Car il faut aller très vite : si une vache meurt, c'est le chauffeur qui paie.
Producteur : Tony Comiti , France5
Auteur : Stéphane Rodriguez
00:55 Dans la région des Yungas, les hommes préfèrent voler que marcher
03:27 Cette région est partagée entre la cordillère des Andes et les plaines d’Amazonie
06:31 La coca est la plante la plus populaire chez les travailleurs Boliviens voulant combattre la fatigue
10:38 La collecte des mandarines est particulièrement difficile dans la vallée
12:45 C’est grâce au président Evo Morales que les cultivateurs de coca ont pu améliorer leurs situations
18:00 Marco affronte tous les jours les dangers de la route pour donner le meilleur à ses enfants
23:30 Au début du chemin de la mort, les chauffeurs font toujours des offrandes pour les esprits
26:30 Marco entame une plongée vertigineuse vers les vallées de Yungas
31:20 De nombreux touristes empruntent ce chemin mortel à vélos
34:31 Le bétail est le roi des plaines d’Amazonie
45:10 Avant de remonter dans la montagne, il va retrouver sa famille
46:53 Pour les hommes et le bétail le trajet est particulièrement dur
50:18 La vie en Bolivie est très difficile pour les habitants de la région de la Paz
Dans ces vallées serpente une route, seul moyen de communication entre La Paz, capitale administrative du pays, perchée sur l'Altiplano, et les richesses du bassin amazonien. Les Boliviens l'ont surnommée « el camino de la muerte », le chemin de la mort. Point culminant : le col de La Cumbre, 4700 mètres, à la sortie de La Paz. 78 kilomètres plus loin, on est à peine à 900 mètres. Le long de cette route de l'impossible, nous suivons l'histoire d'une communauté de cocaleros, des cultivateurs de cocas accrochés aux pentes de la montagne. Pour passer leurs charges jusqu'à la route, ils ont tendu à travers la vallée des câbles de fortune faits de simples fils de fer. Une tyrolienne infernale, de près de 400 mètres de long, à 200 mètres au-dessus du sol. Nous partageons également le quotidien d'un vachero, un chauffeur routier qui transporte des vaches du bassin amazonien vers La Paz, la métropole la plus haute du monde. 25 heures de trajet sur la route de la mort, effectués sans s'arrêter. Car il faut aller très vite : si une vache meurt, c'est le chauffeur qui paie.
Producteur : Tony Comiti , France5
Auteur : Stéphane Rodriguez
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