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Louis Garneau dévoile un casque de vélo encore plus performant
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Il y a un an, l'homme d'affaires et cycliste Louis Garneau était victime d'un accident de vélo à Portneuf et subissait une commotion cérébrale.
Cette chute l'a motivé à concevoir un casque encore plus performant que celui qu'il portait.
Il a dévoilé mercredi à TVA Nouvelles le fruit du travail de son équipe. M. Garneau a mandaté des ingénieurs québécois pour trouver une nouvelle technologie encore plus performante. Pour en arriver au produit idéal, plusieurs tests ont été faits.
«Ce sont des coussinets en rotex au fond qui font la différence et qui absorbent beaucoup plus les chocs. On a testé un impact à 20 km/h avec un casque régulier et il se fissure alors que le notre demeure intact», a-t-il détaillé.
«Il a fallu trouver une technologie abordable, pas trop dure, confortable et absorbante. On a essayé du silicone et plusieurs autres matières pour en arriver au produit idéal.»
Louis Garneau est revenu sur l’importance de la sensibilisation des cyclistes au sujet des chutes.
«C'est très important de sensibiliser les gens. Je suis un cycliste expérimenté et un accident est quand même survenu. Je suis chanceux de m'en être tiré avec quelques blessures et une commotion, mais pour d'autres c'est fatal», a-t-il expliqué.
Le casque créé par M. Garneau et son équipe devrait être commercialisé vers la fin de l’année 2019.
Le casque pas obligatoire au Québec
Au Québec, le casque à vélo n'est pas obligatoire, mais la SAAQ le recommande fortement, car son efficacité est prouvée.
Encore aujourd'hui sur les pistes cyclables, des gens sans casque sont observés.
«C'est mon choix, c'est moi qui subirai les conséquences!», fait savoir un jeune homme à TVA Nouvelles.
«Il me manque quelque chose si je ne porte pas mon casque», mentionne une autre cycliste.
En général, un peu plus de la moitié des cyclistes ont de bonnes habitudes.
Cette chute l'a motivé à concevoir un casque encore plus performant que celui qu'il portait.
Il a dévoilé mercredi à TVA Nouvelles le fruit du travail de son équipe. M. Garneau a mandaté des ingénieurs québécois pour trouver une nouvelle technologie encore plus performante. Pour en arriver au produit idéal, plusieurs tests ont été faits.
«Ce sont des coussinets en rotex au fond qui font la différence et qui absorbent beaucoup plus les chocs. On a testé un impact à 20 km/h avec un casque régulier et il se fissure alors que le notre demeure intact», a-t-il détaillé.
«Il a fallu trouver une technologie abordable, pas trop dure, confortable et absorbante. On a essayé du silicone et plusieurs autres matières pour en arriver au produit idéal.»
Louis Garneau est revenu sur l’importance de la sensibilisation des cyclistes au sujet des chutes.
«C'est très important de sensibiliser les gens. Je suis un cycliste expérimenté et un accident est quand même survenu. Je suis chanceux de m'en être tiré avec quelques blessures et une commotion, mais pour d'autres c'est fatal», a-t-il expliqué.
Le casque créé par M. Garneau et son équipe devrait être commercialisé vers la fin de l’année 2019.
Le casque pas obligatoire au Québec
Au Québec, le casque à vélo n'est pas obligatoire, mais la SAAQ le recommande fortement, car son efficacité est prouvée.
Encore aujourd'hui sur les pistes cyclables, des gens sans casque sont observés.
«C'est mon choix, c'est moi qui subirai les conséquences!», fait savoir un jeune homme à TVA Nouvelles.
«Il me manque quelque chose si je ne porte pas mon casque», mentionne une autre cycliste.
En général, un peu plus de la moitié des cyclistes ont de bonnes habitudes.