THE HOUSE THAT JACK BUILT bande annonce officielle

THE HOUSE THAT JACK BUILT, le nouveau film du maître danois Lars von Trier, présenté au Festival de Cannes 2018

Avec Matt Dillon, Bruno Ganz, Uma Thurman, Riley Keough

États-Unis, années 70.
Nous suivons le très brillant Jack à travers cinq incidents et découvrons les meurtres qui vont marquer son parcours de tueur en série. L'histoire est vécue du point de vue de Jack. Il considère chaque meurtre comme une œuvre d'art en soi. Alors que l'ultime et inévitable intervention de la police ne cesse de se rapprocher (ce qui exaspère Jack et lui met la pression) il décide - contrairement à toute logique - de prendre de plus en plus de risques. Tout au long du film, nous découvrons les descriptions de Jack sur sa situation personnelle, ses problèmes et ses pensées à travers sa conversation avec un inconnu, Verge. Un mélange grotesque de sophismes, d’apitoiement presque enfantin sur soi et d'explications détaillées sur les manœuvres dangereuses et difficiles de Jack.

[arbis]

Anal Génocide et cette bande-annonce m'ont résolument donné envie de voir ce film. Je m'attends à être pris aux tripes, littéralement.

[amineelboujjoufi]

On dirait qu'avec l'âge certains cinéastes re-deviennent adolescents.

[TheCommono]

"The soul belongs to heaven, the body to hell"
Already bored to death.

"But do carry on merrily, just don't believe that you are going to tell me something I haven't heard before..."

[andreshadow]

Quelle horreur... How can one appreciate that type of movie? C'est cauchemardesque.

[lucied]

J'ai vu c'est pas extrême avant le milieu du film, et les phases introspectives sont trop longues (le personnage parle a une espèce de conscience, ou un ange ou on sait pas trop, mais ça dure trop longtemps), et ce que le psychopathe voit comme de l'art c'est pas aussi raffiné ou "sofistiqué" que ce que s'imagine le personnage, c'est un petit joueur quand on le compare a human centiped, mr tusk, ou hannibal lecter, qui eux sont très sofistiqués (a mon sens). enfin, (attention spoil), la fin nous montre ce qu'est l'enfer, c'est intéressant, mais ça n'a pas été très développé, ça reste beaucoup trop abstrait, et c'est dommage.

Tout le film tourne autour du nihilisme du personnage, mais un psychopathe nihiliste et peut être dépressif, ce n'est vraiment pas quelque-chose d'aussi exceptionnel et intéressant que ce que croit nous vendre le film.

Pour ce personnage nihiliste la douleur humaine ou l'empathie, ou les émotions n'ont aucun intérêt, et pour le spectateur aussi en fait, ça n'a aucun intérêt.