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Ane Aanesland, Chercheuse en physique | Talents CNRS
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Formée dans sa Norvège natale à l’université de Tromsø (devenue l’Artic University of Norway), la plus septentrionale du monde, Ane Aanesland est chargée de recherche au Laboratoire de physique des plasmas (CNRS/École polytechnique/Observatoire de Paris/Université Paris-Sud/Sorbonne Université) et a fondé en 2017 la start-up ThrustMe avec son collègue Dmytro Rafalskyi.
Ane Aanesland a développé, avec Dmytro Rafalskyi et leur équipe, deux innovations majeures.La première tient dans le choix de l’ergol, terme générique pour toute matière qui fournit de l’énergie pour la propulsion spatiale.
La deuxième innovation est la conception d’une technologie unique qui permet d’accélérer à la fois ions positifs et électrons via une tension radiofréquence. Le principal frein à la miniaturisation des moteurs spatiaux réside dans la séparation des sources d’ions positifs et d’électrons. La poussée de ces moteurs provient de l’accélération d’un faisceau d’ions chargés positivement, qui crée un champ électrique à "neutraliser" car il s’oppose à l’accélération. Des électrons sont ainsi produits pour neutraliser ces ions afin d’assurer que la charge du satellite reste neutre.
Voir aussi :
Photo : Frédérique PLAS / THRUSTME / CNRS Photothèque
#TalentsCNRS #CNRSinnovation
Ane Aanesland a développé, avec Dmytro Rafalskyi et leur équipe, deux innovations majeures.La première tient dans le choix de l’ergol, terme générique pour toute matière qui fournit de l’énergie pour la propulsion spatiale.
La deuxième innovation est la conception d’une technologie unique qui permet d’accélérer à la fois ions positifs et électrons via une tension radiofréquence. Le principal frein à la miniaturisation des moteurs spatiaux réside dans la séparation des sources d’ions positifs et d’électrons. La poussée de ces moteurs provient de l’accélération d’un faisceau d’ions chargés positivement, qui crée un champ électrique à "neutraliser" car il s’oppose à l’accélération. Des électrons sont ainsi produits pour neutraliser ces ions afin d’assurer que la charge du satellite reste neutre.
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Photo : Frédérique PLAS / THRUSTME / CNRS Photothèque
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