9#13 Wagner, Le Ring, Praxis et Psyché • Dominique Pagani

preview_player
Показать описание
Live du mercredi 27 janvier 2021

00:06:30 Lévi-Strauss et Wagner
00:09:00 Sciences dures : sciences de la nature et mathématiques (cause / effet)
00:14:15 Les géants et Freia
00:17:00 Accumulation de l'Or
00:20:00 Sciences de l'Histoire (sens / signe)
00:25:30 Immanence et transitivité (Spinoza)
00:28:20 Relation d'équivalence et relation d'ordre
00:48:00 Incompatibilité de l'or et de l'amour (Praxis et Psyché)
01:01:30 Beauté naturelle : l'Amour ressemble, comme rien d'autre dans l'univers, à la liberté
01:07:00 Bachelard : le propre de la science est de simplifier le réel et de compliquer la raison.
01:09:30 Présentation extrait de Siegfried, Acte II : milieu de la tétralogie
Рекомендации по теме
Комментарии
Автор

Encore Merci Mons Pagani de bien distinguer entre ce qui est, le reel, et ce que l'homme en fait et ce de manière subtil très subtil avec ses mérites et son lot de dommages collatéraux pour ne pas être méchant votre analyse structurale de ce mythe est passionnante encore une fois Merci sens et Signe privilège de sapiens

ribpaie
Автор

Ce qui est bien avec le classique, c’est qu’il est indémodable ! Haha

perichorese
Автор

Vraiment très difficile ce cycle.
Il y aurait apparemment un truc à comprendre entre l'or (et son accumulation), l'amour et la liberté (Freïa). Mais alors quoi?
Déjà qu'avec Mnémosyne, je n'avais rien pigé... mais là avec Wagner, c'est encore pire : je suis complétement larguée. 🤷‍♀️ 😢
Tout ce que je vois, c'est que Alberich en renonçant à l'amour pour l'or, non seulement se le fait voler par Woltan... mais en plus, perd sa main et fini avec rien du tout. Tandis que Woltan, lui, qui se parjure, et vole l'or... n'a qu'à l’échanger pour récupérer Freïa, et voguer heureux vers le château. La morale n'est pas très morale pour le coup.

clomissy
Автор

La suite de notre plongée dans le Rhin, (pardon! le RING…), à laquelle j’ai le plaisir de vous inviter demain soir, sera incomparablement plus gratifiante, pour celles et ceux qui auront fait l’heureux effort de s’informer, ne serait-ce qu’au travers des immenses bases de données à leur disposition sur les très nombreux sites et/ou pages du net. Je ne parle même pas des innombrables ouvrages imprimés, consacrés au compositeur; dans la louange éperdue comme dans la descente en flammes, le meilleur et le pire s’y côtoient :
Wagner détient haut la main le record du nombre de publications consacrées à un personnage célèbre, juste après Jésus, et largement avant Napoléon! à titre bilatéral, (en réponse à vos messages), je reste bien volontiers à la disposition des camarades qui souhaiteraient être tant soit peu pilotés pour dégager de ce massif au moins touffus, ce qui me semble sortir du lot.
En attendant je propose ci-après quelques liens concernant uniquement quelques différentes versions de L’anneau du Nibelung: Mises en scène opératiques, mais aussi bien dessins animés-mais si!-une fascinante création chinoise, (lettre D), et même une version à la limite du X (ci-dessous, lettre E) -Wagner les rend fous!- empreinte de ce fastidieux académisme à prétention transgressive dont raffolent les cultures de traditions puritaines.
Notre réalisation de référence reste ci-dessous celle de 1976, interprétée à Bayreuth, à l’occasion du centenaire de la création du ring, sous la baguette de Pierre Boulez et dans la mise en scène de Patrice Chéreau (entrée à la lettre A).
Elle nous servira de repère commun pour situer des extraits “minutés”, ou pour identifier tel ou tel “leitmotiv”.
En A bis vous avez un lien Wikipedia où sont recensés tous les “leitmotiv” du cycle, affectés d’un numéro et d’un profil audio.
Par exemple s’il m’arrive de faire allusion aux thème du “casque magique” (N° 18), des “filles du rhin”, (N° 21), du “renoncement à l’amour”(N° 76) ou de Loge, (le feu) (de 20 à 21a), il suffira de se reporter à cette liste, aux numéros correspondants.

PhilosopheravecDominiquePagani
Автор

Guten abend, d’où l’origine des péripatéticiennes, complètement galvaudée semble-t-il. Une question me taraude à l’esprit cependant. Que pensez-vous de la philosophie séculaire, contemporaine par rapport à celle de nos anciennes traditions ? La même chose avec les Maths et l’arithmétique ? La géométrie sacrée ... Myriades disent que cela n’est qu’ersatz. Votre point de vue, perspective par rapport à notre société « moderne » m’intéresse, dans le sens poids et mesure, métaphysique (pas au sens aristotélicien). La Vérité à un parfum de beauté, me trompe-je ? Merci en tous cas.
Pardon pour les coquilles, mea culpa. Tchuss.

perichorese