les coulisses du procès de Rodrigue Petitot

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La demande de mise en liberté de Rodrigue Petitot, le leader du RPPRAC, a été rejetée à nouveau
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3ème copier-coller sur 3 post différents, va falloir changer de disque à un moment. Votre argumentaire vous trahis malheureusement mais qui suis-je pour juger quelqu'un qui défend ses intérêts 😉. Vous laisser transparaître une peur que peu de jeunes générations ont maintenant. Celles-ci qui n'ont plus rien à perdre puisqu'elles n'ont tout simplement plus rien à leurs noms que ce soit maison, voiture et j'en passe. Le mouvement est en marche que vous le vouliez ou non

mony
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Demande rejetée ! Excellent ! Petitot restera sous les verrous !
La justice doit s'appliquer fermement quand un individu décide de ne pas respecter les lois de la République.
M. Petitot, délinquant en comportement de rédemption ( d'après ses dires) crée une association le RPPRAC, s'auto-désigne président et se lance dans une lutte contre " la vie chère ".
Bien.
Mais les méthodes qu'il utilise s'apparentent aux règlements de compte entre voyous !
Ce Monsieur commence par lancer des injonctions aux responsables de la grande distribution, menace les uns et les autres et précise un certain nombre d'exigences !
Négociations en direct sur internet, blocages des centres commerciaux...dès les premiers jours, il annonce des " exactions " : la police l'arrête alors qu'il s'apprêtait à voler un autobus (à quatre heures du matin) : habillé de noir, capuche, cagoule et gants ...bref, la panoplie du voleur de nuit ! Son avocat arrive à le faire passer pour innocent...mais personne n'est dupe et de nombreux martiniquais qui étaient décidés à participer aux actions avec le RPPRAC, une association jusqu'alors inconnue, ont pris leur distance...
Très vite, le bilan des " émeutes" permettent de voir que cette révolte contre la vie chère est prise en main par plusieurs gangs...notamment quand on s'aperçoit que les réverbères de l 'avenue Bishop, ont été sciés à la meuleuse...comme le font les gangs de narcotrafiquants qui veulent écouler leur marchandise à l'abri de regards indiscrets...pillages et incendies de petites entreprises, destruction de pharmacies et de centres médicaux, blocages aux carrefours avec paiement de rançons, agressions physiques...La Martinique et le petit peuple travailleur subissent de plein fouet ces exactions : de nombreuses institutions ne fonctionnent plus, notamment l'école qui ne peut recevoir les élèves qui manqueront 95 jours de classe dans l'indifférence générale ...
A cela on s'aperçoit que certains parlent de" passage obligé " pour permettre aux prix des denrées importées de s'aligner sur ceux de France...
Après le refus de Petitot de signer un protocole d 'accord, le RPPRAC poursuit ses exactions. Des consignes sont donnés aux petits malfrats- désignés par Petitot lui-même, dans une video tiktok, comme les " soldats rouges", nécessaires au mouvement - Malfrats qui continuent à imposer leurs lois...
on voit le sieur Petitot tenter de mettre la Guadeloupe en coupe reglée et après l'échec de cette tentative, se rendre à Paris pour mobiliser la diaspora antillaise qui pense vraiment qu'on a une lutte de revendications qui pourrait pour certains révolutionnaires attardés et vieillissants, aboutir à une lutte de libération nationale ! le rêve ultime !...
Après le succès de la mobilisation parisienne Petitot pense qu'il est le nouveau Mandela de la Martinique et exige de rencontrer le ministre pas moins et cela au nom du peuple ...un peuple qui comprend au fur et à mesure que le sieur Petitot est un "brasseur de vents" et n'a aucun objectif clair pour faire baisser les prix...
la vie chère aux Antilles a toujours existé et risque de perdurer tant que l'agriculture locale sera moribonde...
Enivré par le succès populaire de Paris il commence alors à multiplier les menaces contre l'autorité républicaine : préfet et élus sont alors publiquement menacés, même physiquement ! On voit donc un Caïd qui nous rappelle les vieux films de Coppola et les jours sombres qui défilent en Haïti (envahi par des gangs)...Ce caïd s'introduit dans la résidence privée du Préfet et tente d 'imposer ses lois!
Le peuple, dans une large majorité n'en veut pas...sauf quelques martiniquais perdus, des syndicalistes septuagénaires et aigris, des révolutionnaires de pacotille, et des politiques à la recherche de postes qui apportent leur soutien à un mouvement qui s'est montré violent, haineux et qui a réussi à installer la haine et la violence contre une communauté Martiniquaise..comme le prouvent les récents èvènements abjects qui ont eu lieu, samedi dernier, sur le parvis de l'église du François...
Après moult hésitations et malgré le soutien de quelques élus, la République reprend le dessus la Justice intervient et met fin, provisoirement pour l'instant, aux actions nocives du Caïd Petitot !

AlbericP