'La destruction de la biodiversité a ouvert une ère de pandémies'

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Les activités humaines sont en train de laisser une empreinte profonde dans les couches géologiques. Avec la pandémie de Covid-19, nous entrons dans une nouvelle ère, prévient l'économiste Benjamin Coriat, celle de l'anthropocène, ou plutôt du "capitalocène", comme il le suggère, marquée par les changements climatiques et les risques sanitaires à échelle mondiale. Professeur des universités à Paris-XIII et membre du collectif des Économistes atterrés, il publie "L'anthropocène et le bien commun" aux éditions Les liens qui libèrent.

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Комментарии
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Ariane bilheran psychologue clinicienne :
il y a une constante dans l’Histoire de l’humanité, c’est que ceux qui ont des privilèges au détriment de ceux qui n’en ont pas, se sentent persécutés par ceux qui n’en ont pas, parce que ceux qui n’en ont pas et qui sont plus nombreux pourraient éventuellement se rendre compte qu’ils ont confisqué des privilèges, et même, pourquoi pas les tuer.

Et donc, ils organisent des complots contre ceux qui n’en ont pas.

ellem
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M. Coriat propose une alternative communiste ! Et c'est tant mieux. Très intéressant.

thorfinn