Does hash tag activism actually work?

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In the wake of crises, do popular hash tags do any good? ABC Action News takes a close look at the question.
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rpz the highschool of Lillebonne :)
here's the translation for my mates ( bellow )





En ce moment les réseaux sociaux nous donnent plus que jamais un endroit pour défendre une cause.
Nous l'avons vu avec le hashtag bringbackourgirls pour les écolières kidnappées au Ningeria et un peu plus tard dans la semaine avec le hashtag yesallwomen en réponse à la fusillade de Santa Barbara, mais la question est : est-ce-que cet activsime par l'hashtag apporte vraiment quelque chose. Brenda Mclaughlin est dans notre salle de presse pour nous en ce moment et va essayer de répondre à cette question pour nous ce soir.

Brendon, eh bien il n'y a aucune preuve qui pourrai suggérer que ces hastags tendance sur twitter resolve de gros problèmes comme le sexisme, terrorisme ou la violence armé. Mais il n'est pas exact de dire qu'ils ne font rien. Un documentaire de 2012 sur Josheph Kony, un chef rebelle ougandais accusé d'atrocitées horribles a déclanché l'une des premières explosion virales sur twitter. Cela unis les jeunes autour du monde dans le but de trouver et arrêter le regne de terreur de Kony et bien que les voitures ai généré 10 million de tweets en quelque jours en mars de cette année là, Joseph Kony reste en liberté aujourd'hui.

Quand les münster ont lancé leurs armes en l'air.

Le kidnapping de centaines d'éccolière au nigéria cette année là ont lancé la même vague de partage d'indignation par les célébrité des réseaux sociaux, y compris la 1ere dame qui a posé avec le hastag bringbackourgirls. La tendance a sensibilisé et inquiété sur ce qui est arrivé mais jusqu'à présent il n'y a pas eu de filles qui sont revenus.

On peut douté que les terroristes qui se sont livré à cette activité seront en mode : « Oh il y a un million de tweet mieux vaut les laisser partir »

Mais le professeur de sociologie de l'USF, Robert Banford, ne pense pas pareil et dit que ce soi-diant activisme par l'hashtag est une perte de temps. Que ce sois le kindapping en Afrique, la fusillade ou l'affaire Trayvon Martin en Floride. Ces actions permettent à n'importe qui d'être entendu parce qu'ils ne peuvent pas se rendre a Washigton DC ou au nigéria ou Tallahassee. [...]

La chose qui est triste ici, c'est la foule d'information inutile qui envahi twitter et qui va faire penser que nous faisons réellement quelque chose.

L'animateur radio Limbaugh s'est même moqué de la première dame en suggérant que son selfie hashtag faisait plus de mal que de bien. Benford ne voit pas le mal dans cette pratique

à la fin d'une journée, cela n'aide que certaines personnes à se sentir mieux, où est le mal ?

Mais ces campagnes d'hashtags peut également faire pression sur ceux qui sont prêt à agir : alors que Joseph Kony est toujours libre, les troupes US sont toujours à sa recherche.

uglule