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Nicolas Royer produit du soja 🇫🇷 pour nourrir ses vaches laitières | Les pieds dans les champs
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#soja #autonomieprotéique #tourteaux
Nicolas Royer est installé à Monhoudou, dans la Sarthe. Il y est polyculteur élevage laitier et possède un cheptel d'une cinquantaine de vaches. Pour lui produire son propre soja, en plus d'avoir plusieurs avantages agronomiques et économiques, est un devoir pour arriver à l'autonomie protéique de la France.
En produisant son soja, Nicolas évite les achats de tourteaux brésiliens et américains et certifie ainsi une alimentation sans OGM à ses vaches.
Avec ses 5 hectares, Nicolas produit 15 tonnes de soja pour ses vaches, qu'il broie directement à la ferme. Cela lui permet de réaliser une économie de 8 000 € !
Nicolas n'a pas eu besoin de s'équiper pour intégrer le soja à sa rotation. En effet, il utiliser le matériel déjà présent sur sa ferme (semoir à blé, pulvérisateurs, moissonneuse-batteuse à céréales).
Pour le choix variétal, Nicolas compte sur des variétés très précoces triple 0. Il sème fin avril-début mai pour espérer une récolte mi-septembre.
Cette vidéo a été réalisée dans le cadre du programme Cap Protéines, financé par le Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.
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Nicolas Royer est installé à Monhoudou, dans la Sarthe. Il y est polyculteur élevage laitier et possède un cheptel d'une cinquantaine de vaches. Pour lui produire son propre soja, en plus d'avoir plusieurs avantages agronomiques et économiques, est un devoir pour arriver à l'autonomie protéique de la France.
En produisant son soja, Nicolas évite les achats de tourteaux brésiliens et américains et certifie ainsi une alimentation sans OGM à ses vaches.
Avec ses 5 hectares, Nicolas produit 15 tonnes de soja pour ses vaches, qu'il broie directement à la ferme. Cela lui permet de réaliser une économie de 8 000 € !
Nicolas n'a pas eu besoin de s'équiper pour intégrer le soja à sa rotation. En effet, il utiliser le matériel déjà présent sur sa ferme (semoir à blé, pulvérisateurs, moissonneuse-batteuse à céréales).
Pour le choix variétal, Nicolas compte sur des variétés très précoces triple 0. Il sème fin avril-début mai pour espérer une récolte mi-septembre.
Cette vidéo a été réalisée dans le cadre du programme Cap Protéines, financé par le Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.
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