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🇯🇵 Le Shibuya-kei, évolution de la City Pop ? #citypop #shibuyakei

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Avis à tous les amateurs de City Pop, aujourd’hui on retourne au Japon, mais cette fois dans les années 90, et plus précisément dans l’arrondissement de #Shibuya , à Tokyo !
Quartier d’affaires et véritable centre névralgique de la ville, il abrite de nombreux magasins et de nombreux disquaires, et c’est grâce eux que va naitre un style proteiforme, qu’on appelle le Shibuya-kei. La folie autour de la City Pop à peu a peu fini par s’estomper, et les stations de radio inondent désormais le pays d’une J-Pop un peu mièvre, et les jeunes cools et branchés de Tokyo qui traînent dans les magasins de disque de Shibuya, se mettent alors à concevoir dans leur coin une musique hybride, comme un pastiche de toutes leurs influences, à savoir : la pop française et anglo-saxonne des années 60, je jazz, l’acid jazz, la bossa nova, la house, le hip hop, a peu près toute la musique qu’ils aimaient en gros quoi. Et c’est justement le reproche qui va être fait aux artistes de Shibuya-kei, d’avoir une approche superficielle et consumériste de la musique, ayant pour unique but de refléter leur bon gout.
Alors, c’est pas faux, mais n’empêche qu’il y’a certains albums qui valent le détour, comme « Fantasma » de Cornelius, ou « Future listening ! » de Towa Tei, un album trip-hop/bossa nova sur lequel on peut retrouver #ryuichisakamoto , #haruomihosono , Laraaji, Marcos Valle et Bebel Gilberto, rien que ça.
Quartier d’affaires et véritable centre névralgique de la ville, il abrite de nombreux magasins et de nombreux disquaires, et c’est grâce eux que va naitre un style proteiforme, qu’on appelle le Shibuya-kei. La folie autour de la City Pop à peu a peu fini par s’estomper, et les stations de radio inondent désormais le pays d’une J-Pop un peu mièvre, et les jeunes cools et branchés de Tokyo qui traînent dans les magasins de disque de Shibuya, se mettent alors à concevoir dans leur coin une musique hybride, comme un pastiche de toutes leurs influences, à savoir : la pop française et anglo-saxonne des années 60, je jazz, l’acid jazz, la bossa nova, la house, le hip hop, a peu près toute la musique qu’ils aimaient en gros quoi. Et c’est justement le reproche qui va être fait aux artistes de Shibuya-kei, d’avoir une approche superficielle et consumériste de la musique, ayant pour unique but de refléter leur bon gout.
Alors, c’est pas faux, mais n’empêche qu’il y’a certains albums qui valent le détour, comme « Fantasma » de Cornelius, ou « Future listening ! » de Towa Tei, un album trip-hop/bossa nova sur lequel on peut retrouver #ryuichisakamoto , #haruomihosono , Laraaji, Marcos Valle et Bebel Gilberto, rien que ça.
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