Doze d’économie : Stellantis sans Carlos Tavares

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Ce lundi 2 décembre, dans sa chronique Doze d'économie, Nicolas Doze s'est intéressé sur ce qu'il s'est passé en amont de l’annonce de la démission avec effet immédiat de Carlos Tavares de Stellantis, et le devenir du groupe après son départ. Cette chronique est à voir ou écouter du lundi au vendredi dans Tout pour investir, présentée par Lorraine Goumot, sur BFM Business. 👋 Bienvenue sur la chaîne YouTube officielle de BFM Business, première chaîne d'information économique et financière de France.

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Комментарии
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Nicolas Doze doit manger son chapeau après avoir encensé le génie de Carlos Tavares - cela lui fait mal de dire que le psychopathe de la performance est un vrai tigre de papier, qui a pressé le citron jusqu'à mettre la société à terre.

johnfrenchie
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L’usine de Poissy fermera. Ils ont déjà réduit sa surface de moitié pour y construire leur « campus ». J’ai bossé pour eux de 2016 à 2020, ils ont vendu tout leur patrimoine en île de France, du siège au centre de R&D tout à été liquidé. Sans parler des pièces de moindre qualité dans les voitures. Il a resserré tous les coûts pour se retrouver au sommet. Il s’en fou de partir, il s’est assez enrichi pour des générations.

kevintejoleiro
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On peut tromper 1 fois 1000 personnes, mais on ne peut pas tromper 1000 personnes 1000 fois.
Il n'y a qu'à voir l'essai de la C3 sur Caradisiac. Une caisse indienne adaptée à la va-vite, remplie de bugs et qui tombe en ruine au bout de 5000km avec un moteur qu'ils ont tenté de fiabiliser en catastrophe. Un désastre.

a
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Stellantis l a joué comme Boeing. Finances au détriment de l ingénierie, court termisme a tout crin...

arnaud.lancelot
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Ok pour ce brillant exposé .
Tavares part avec un fier pactole .
Et en ayant fait de bons dégâts sociaux .
Ne parlons pas de la navrante image de fiabilité mécanique du célèbre et désormais juridiquement malmené moteur puretech .
Cet échec technique patant aura un coût élevé que Stellantis devra assumer .
Le costkiller Tavares restera dans la mémoire de l'industrie automobile avec une image bien écornée .
Quant aux actionnaires Stellantis , moins 50%, les plumes ont été perdues ...

reginaldpressard
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On peut avoir beaucoup d'analyses financières, de débats sur la stratégie de croissance... Mais il faut pas oublier la cause principale de la chute de stellantis qui est tout bêtement la conséquence d'une qualité produit devenue catastrophique. Et donc les clients tournent le dos à ce fabricant.

brunoc
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Stellantis vend des voitures généralistes au prix du prémium, ça a fonctionner au début, et maintenant cela ne fonctionne plus du tout.

VictorDUBOIS-wt
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Toute analyse qui exclut le client final est bonne pour la poubelle avec celui qui la produit, car le vrai decideur, le vrai big boss de toute entreprise c'est l'acheteur.

AM-sxxw
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S’il ne veut pas disparaître Stellantis doit miser sur des moteurs thermiques fiables et arrêter d’arnaquer ses clients.
Les politiques à court terme ne payent plus!

AvenueMontaigne-p
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Tout ca sans parler des SCANDALES PURETECH et TAKATA, bravo Monsieur Doze 🙂

lxx
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N'oublions pas que Carlos Tavares à la fin de l'été s'affichait dans turbo au volant d'un Nissan Navara. Je pense que la messe était déjà dites en interne. D'ailleurs Nissan va très mal. Serait-il en négociation pour en prendre la direction ???

funnyzapping
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il suffisait de relancer la production des 205 et 206.

charabotte
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Tavarès est l'archétype du patron à la mentalité de criquet qui joue le cours en bourse à court terme au détriment de la pérennité de l'entreprise. On oublie aussi de dire que le redressement de PSA a été grandement facilité par un soutien de 4 milliards de l'Etat français. Pour le reste, il n'a fait qu'organiser des fusions, fermer des usines et délocaliser mais il a oublié qu'il était ingénieur et que le métier de Stellantis était de fabriquer des bagnoles que les gens avaient envie d'acheter. Ce n'était pas André Citroën.

MarcDebliquy
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Nous avions un groupe PSA qui avait été remis à flot et qui, notamment sur le marché européen s'en sortait plutôt bien. Trois marques françaises, une marque allemande, il y avait de quoi voir venir. Les usines étaient essentiellement françaises et allemandes, et cela donnait une certaine cohésion à l'ensemble. L'idée de vouloir pénétrer le marché chinois était une idiotie sans nom. On a fait construire les hauts de gamme "français" en Chine ( DS 9 et C5X ) avec l'idée d'avoir des modèles à vocation mondiale. Bilan: deux modèles qui n'ont pas du tout marché. Les petits modèles sont maintenant fabriqués en Espagne, en Slovénie et en Turquie, sous prétexte qu'ils seraient trop chers à fabriquer en France ( ce qu'arrive tout à fait à faire Toyota, comme quoi...). En 2000, on fabriquait environ 3 millions de voitures en France, actuellement, on tourne autour de 1 million. La fusion avec Fiat a toujours a été vue d'un bon oeil par les économistes ( un grand groupe face à la concurrence mondiale, soi-disant). Bilan: les usines françaises et italiennes ferment et les décisions ne se prennent plus ni en Italie, ni en France, mais à Amsterdam ( ville plus accueillante du point de vue des impôts, bien sûr...). La France n'a strictement plus rien à dire concernant la fabrication des Peugeot, Citroën et DS, d'autres usines vont fermer. Il me semble que de ce point de vue l'Italie a un peu plus de mordant que nous... RIP Peugeot, Citroën et DS...

laurentf
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C’est marrant de vous entendre parler ! Le problème de PSA est un problème d’ingénierie pas de finances

elyasbentaleb
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Tavares aime l'automobile et a redressé PSA au bord de la faillite. C'est pas un guignol . Il est victime de la politique italienne de Fiat (et du gouvernement italien), qui s'est alliée avec la branche américaine du groupe. C'est cela qu'il a sous-estimé et ça lui coute cher.

mrdjangofreeman
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Rien que pour le fait de voir un collier de barbe en 2024, je suis content d'avoir cliqué sur cette vidéo.

AlX-V
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Il a tellement était costkiller!!! Que les voitures sont costkiller de l’usager.

marc-antoinenicolas
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Désolé mais on est encore loin d’être passé à l’ère de l’électrique comme il a été dit dans ce reportage, les gens n’en veulent pas en l’état actuel de leur prix et de leur autonomie.

brunoruaud
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monter les prix pour garder les marges ne dure qu'un temps, à un moment les gens ne peuvent plus acheter de voiture.

pascaljo
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