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07 - MPL - Ton ombre

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MPL - Ma pauvre Lucette - Ton ombre
Musique et texte : MPL
Label : Général Coulis
Éditions : L'Amirale
©2015
PAROLES
Tu vois comme le ciel est sombre?
Et tu vois comme s’allonge ton ombre?
Le grand nuage que voilà,
Et bien tu vois : Il attendra.
Car il a fait sa part du boulot,
Pour une petite part du gâteau,
Il traîne la patte sur son chemin,
Le bâton à la main.
L’homme au canif, bien affûté,
Pour partager le pain,
Est toujours un peu fatigué,
Mais il dormira mieux demain.
Sans parler de grasse matinée,
Et ni de vacances au sommeil,
Ils n’auront pas sa dignité,
Lui, tant qu’il veille.
REFRAIN
Que lui finisse son assiette,
Elle qui les mains à la cuisine,
A sa cuisine toujours prête,
Elle, a le cœur au régime.
Il a vu dans ses yeux marrons,
Que c’était la femme de sa mort,
La maman de son grand garçon,
Il a pas eu tort.
Devoir de femme ou marque d’affection,
Quand le goût de te verser la goutte s’efface,
C’est la vie droite comme deux sillons,
Pour seule trace.
REFRAIN
Qu’on brûle le vieux cerisier,
Pour passer le dernier décembre,
Tous ces après-midis d’été,
Réduits en cendre.
Et même s’il lui manque des dents,
Il a le sourire vrai,
Il a le verbe juste quand,
Il ne se tait,
L’homme qui pisse le nez au ciel,
Quant d’autre regardent leurs pieds,
Et comme la vie peut être belle,
Quand elle s’y met.
Si sa langue s’endort doucement,
Sa tête s’éveille au passé,
Ses pas rétrécissent tant et tant,
Que l’homme se tait.
REFRAIN
La vie ne sait pas dire merci,
Il l’a compris, tant pis,
Il a regardé en arrière,
Comme d’habitude , sans avoir l’air.
Musique et texte : MPL
Label : Général Coulis
Éditions : L'Amirale
©2015
PAROLES
Tu vois comme le ciel est sombre?
Et tu vois comme s’allonge ton ombre?
Le grand nuage que voilà,
Et bien tu vois : Il attendra.
Car il a fait sa part du boulot,
Pour une petite part du gâteau,
Il traîne la patte sur son chemin,
Le bâton à la main.
L’homme au canif, bien affûté,
Pour partager le pain,
Est toujours un peu fatigué,
Mais il dormira mieux demain.
Sans parler de grasse matinée,
Et ni de vacances au sommeil,
Ils n’auront pas sa dignité,
Lui, tant qu’il veille.
REFRAIN
Que lui finisse son assiette,
Elle qui les mains à la cuisine,
A sa cuisine toujours prête,
Elle, a le cœur au régime.
Il a vu dans ses yeux marrons,
Que c’était la femme de sa mort,
La maman de son grand garçon,
Il a pas eu tort.
Devoir de femme ou marque d’affection,
Quand le goût de te verser la goutte s’efface,
C’est la vie droite comme deux sillons,
Pour seule trace.
REFRAIN
Qu’on brûle le vieux cerisier,
Pour passer le dernier décembre,
Tous ces après-midis d’été,
Réduits en cendre.
Et même s’il lui manque des dents,
Il a le sourire vrai,
Il a le verbe juste quand,
Il ne se tait,
L’homme qui pisse le nez au ciel,
Quant d’autre regardent leurs pieds,
Et comme la vie peut être belle,
Quand elle s’y met.
Si sa langue s’endort doucement,
Sa tête s’éveille au passé,
Ses pas rétrécissent tant et tant,
Que l’homme se tait.
REFRAIN
La vie ne sait pas dire merci,
Il l’a compris, tant pis,
Il a regardé en arrière,
Comme d’habitude , sans avoir l’air.
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