Big Brother is watching you

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70 ans après sa parution, « 1984 », l'un des récits les plus bouleversants du XXe siècle, est toujours autant d'actualité. Dans ce roman qui dépeint un régime totalitaire où le langage est modifié pour contrôler les masses, George Orwell montre comment les mots peuvent devenir un instrument de domination.

Culture Prime est sur franceinfo (canal 27) le mardi à 19h50.


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Комментарии
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je suis Russe, et j'ai lu ce roman. Je ne sais pas exactement comment etait la situation a l'URSS, car je suis assez jeune, mais je crois que la situation decrite dans le roman d'Orwell se refere plutot a la Russie actuelle. Le gouvernement de notre pays va interdire la liberté d'expression presque completement, car on adopte les lois qui permettent la mise en prison de toute personne qui dit la verite sur le gouvernement, sur la corruption par exemple. Donc, dire la verite est considere maintenant d' '"etre extremiste" dans notre pays. Et j'ai honte de notre politique. Donc je pense que ce livre est tres actuel dans nos temps.

userksenia
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Oh mon dieu que c'est nul ! Le niveau de Yann Lagarde est à peu près celui d'un élève de 4ème qui fait un exposé sur Orwell, sa collègue se prend les pieds dans les dates ("1984" a été écrit en 1948), et tout ce petit monde confond allègrement les concepts de "langue de bois", "éléments de langage", "euphémisme" avec celui de la "novlangue" d'Orwell. Sans parler du fait qu'ils ne savent visiblement pas ce qu'est un "plan de sauvegarde de l'emploi" (procédure visant à renchérir le coût des licenciements pour une entreprise, et qui a d'ailleurs des effets contre-productifs assez remarquables), ni l'article R211-13 du code de la sécurité intérieure qui définit les conditions d'emploi légitimes de la force par les représentants de la force publique et précise que "La force déployée doit être proportionnée au trouble à faire cesser". Les deux exemples donnés par M. Lagarde n'ont donc strictement rien à voir avec la novlangue d'Orwell, pas plus que les néologismes utilisés dans le monde de l'entreprise, ni les éléments de langage usités dans les milieux politiques. Par pitié, arrêtons de faire dire à Orwell ce qu'il n'a pas dit et de l'utiliser à tort et à travers pour discréditer nos dirigeants politiques (aussi imparfaits soient-ils), et surtout ne passons pas à côté du véritable message du roman : le problème fondamental dans la société d'Océania, c'est la Police de la Pensée et donc la notion de crime-de-pensées.

monsieurbop