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Un chirurgien qualifie la vaccination de 'génocide'

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Lors d’une manifestation organisée contre le pass sanitaire à Tarbes (Hautes-Pyrénées), un chirurgien à comparé la vaccination contre le coronavirus à un «génocide», créant une vive polémique. Le point de départ de cette affaire est à trouvé du côté d'un groupe de manifestants qui s’était réuni récemment devant l’hôpital de Tarbes.
L’échange a été filmé puis posté sur les réseaux sociaux. Au micro, un chirurgien orthopédiste a alors entamé un discours contre le vaccin et contre le pass sanitaire. «Ce n’est pas une vaccination, c’est une injection d’un produit génique, qui est une thérapie génique, expérimentale. (…) Il faut absolument refuser cette injection» déclare-t-il devant la foule.Cette injection n'est pas un vaccin, c'est une thérapie génique et expérimentale qui ne peut pas être rendue obligatoire. [...] Cette injection est responsable de complications. Alors on appelle ça des effets indésirables mais ça s’appelle des complications. Ce qui se passe actuellement est dramatique car à l’hôpital, depuis hier (vendredi 20 août), deux jeunes de 17 et 20 ans ont des myocardites, deux jours après la vaccination", ajoutait alors le chirurgien, invitant à privilégier d'autres solutions thérapeutiques comme "l’hydroxychloroquine, l'azithromycine, l’ivermectine, le zinc, la vitamine D, la vitamine C".
L’échange a été filmé puis posté sur les réseaux sociaux. Au micro, un chirurgien orthopédiste a alors entamé un discours contre le vaccin et contre le pass sanitaire. «Ce n’est pas une vaccination, c’est une injection d’un produit génique, qui est une thérapie génique, expérimentale. (…) Il faut absolument refuser cette injection» déclare-t-il devant la foule.Cette injection n'est pas un vaccin, c'est une thérapie génique et expérimentale qui ne peut pas être rendue obligatoire. [...] Cette injection est responsable de complications. Alors on appelle ça des effets indésirables mais ça s’appelle des complications. Ce qui se passe actuellement est dramatique car à l’hôpital, depuis hier (vendredi 20 août), deux jeunes de 17 et 20 ans ont des myocardites, deux jours après la vaccination", ajoutait alors le chirurgien, invitant à privilégier d'autres solutions thérapeutiques comme "l’hydroxychloroquine, l'azithromycine, l’ivermectine, le zinc, la vitamine D, la vitamine C".