Israël - Hamas : conflit régional, enjeux mondiaux | Temps forts 2023 | Le dessous des cartes | ARTE

Cartes à l’appui, Émilie Aubry analyse les temps forts géopolitiques de l’année 2023. Depuis le 7 octobre 2023, la guerre Israël-Hamas bouleverse le monde par sa violence, rendant inaccessible le scénario de deux États, israélien et palestinien, capables de vivre en paix, côte à côte.
Cette guerre pour l'instant régionale se joue également à une échelle plus internationale : les États-Unis, la Russie, le Qatar, l’Égypte jouent un rôle dans ce conflit. Ainsi que l’Iran, ennemi historique d’Israël, qui fait peser la menace d’un élargissement du conflit en activant ses alliés dans la région. Les bombardements et les combats ne faiblissent pas, notamment dans les tunnels construits par le Hamas, particulièrement sous les villes de la bande de Gaza. 

#GuerreIsraëlHamas #Gaza #IsraëlPalestine #Geopolitique2023

Interview et réalisation : Émilie Aubry
Assistée de : Marion Le Bourthe, Pierre Simon
Montage : Alexis Jaulmes
ARTE Studio
Production exécutive : Angèle Le Névé
Chargé de production : Rudy Chambard
Chargée de postproduction : Juliette Droillard
Assistante de production : Hélèna Senn
Iconographie : Bibliothèque nationale de France /AFP/ Tous droits réservés
© ARTE France - Décembre 2023

[sebo]

Une histoire qui débute le 7 octobre 2023?

[tarekchami]

Arrêtez de dire guerre Hamas Israël. C’est Israël contre Palestine !

[zagarosledruide]

Et surtout pas un mot pour les 20000 victimes et les millions des déplacés

[bensaberanas]

Il faut revenir 75 ans en arrière pour mieux comprendre l'origine du conflit.

[raoufabdourazak]

*Les résolutions de l’ONU non respectées par Israël.*

En 2022 seulement, Israël a battu tous les records en faisant l’objet de 15 résolutions de l’ONU.

Recevant le soutien inconditionnel des puissances occidentales, Israël continue de profiter d’une exclusivité qui lui permet d’agir en toute impunité dans les territoires palestiniens, faisant fi de toutes les résolutions de l’ONU adoptées depuis sa création.

Depuis 1947, Israël a fait l’objet de plus de 50 résolutions et condamnations de l’ONU, qui n’ont pas été respectées ni prises en compte.

Nombreuses sont les résolutions qui exhortent les forces armées israéliennes au retrait des territoires occupés *(Résolution 242)*, à indemniser les réfugiés et les laisser “rentrer dans leurs foyers le plus tôt possible et vivre en paix avec leurs voisins” *(Résolution 194)*, à respecter le cessez-le-feu *(Résolution 236)*, assurer “la sûreté, le bien-être et la sécurité des habitants des zones où des opérations militaires ont eu lieu”.

Le 21 mai 1968, *la résolution 252* du Conseil de sécurité de l’ONU déclare “non valides”, les mesures israéliennes qui consistent à “l' expropriation de terres et de biens immobiliers”, et visent à “modifier le statut de Jérusalem”.

Le 22 mars 1979, *la résolution 446* du Conseil de sécurité exige l’arrêt des “pratiques israéliennes visant à établir des colonies de peuplement dans les territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés depuis 1967”, affirme que ces pratiques “n’ont aucune validité en droit” tout en demandant à Israël de respecter la convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre.

Dans sa *Résolution 592* du 8 décembre 1986, le Conseil de sécurité de l’ONU rappelle que la convention de Genève relative à la protection des civils en temps de guerre “est applicable aux territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés par Israël depuis 1967” et condamne “l’armée israélienne qui, ayant ouvert le feu, a tué ou blessé des étudiants” de l’université Bir Zeit.

Après le déclenchement de la première Intifada, le Conseil de sécurité condamne, dans sa *Résolution 605* datée du 22 décembre 1987, les pratiques d’Israël “qui violent les droits du peuple palestinien dans les territoires occupés, en particulier le fait que l’armée israélienne a ouvert le feu, tuant ou blessant des civils palestiniens”.

Le 30 août 1989, la *Résolution 641* du Conseil de sécurité de l’ONU “déplore qu’Israël, puissance occupante, continue d’expulser des civils palestiniens” et lui demande d’assurer le retour de tous les expulsés.

Après le début de la seconde Intifada, le Conseil de sécurité a dénoncé les violences et condamné le “recours excessif à la force contre les Palestiniens” tout en demandant à Israël de respecter ses obligations relatives à la convention de Genève *(Résolution 1322* du 7 octobre 2000).

Après l’incursion de l’armée israélienne dans la bande de Gaza en 2009, le Conseil de sécurité exige dans sa *Résolution 1860* du 8 janvier 2009, “l’instauration immédiate d’un cessez-le-feu durable et pleinement respecté menant au retrait total des forces israéliennes de la bande de Gaza”, et exige de ne pas entraver l’entrée des organisations médicales dans Gaza.

Cette liste, très loin d'être exhaustive, de résolutions non respectées, laisse entrevoir à quel point les violations en matière de droits de l’homme auxquelles sont confrontés les Palestiniens, restent toujours les mêmes presque 70 ans plus tard. Mais les appels désespérés du peuple palestinien semblent malheureusement toujours inaudibles en Occident.

[fatehbel]

Tout le monde sait que la version Nethanayahou n'est pas fiable

[irtiqaa]

Au lieu de dire le sol israélien dites plutôt attaque sur le sol occupé par les israéliens. Comme ça c'est plus compatible à l'objectivité journalistique, historique et géopolitique😊

[MarieMorand]

9 000 enfants morts dont 3000 moins de deux ans à gaza 😞🥺🥺😭😭😭🥺🥺🥺🥺🥺🥺🥺

[unkownunkown]

Arte outil de propagande... Après tout BHL est président du conseil de surveillance...
1- il s'agirait plutôt d'une guerre Israël-Palestine (si ce n'est un génocide Palestinien) et non Israël-Hamas comme veulent le faire croire les Israéliens. En Cisjordanie, ou le Hamas n'est pas au pouvoir, les exactions n'ont pas cessé.
2- Le reportage ne fait que répéter la propagande israélienne. Notamment sur la guerre de tamouz (2006) et en omettant toutes les colonies que s'est accaparé Israël sur la Syrie et le Liban.

[essanoussimoussa]

sans avoir lu au préalaleble les commentaires, j ai arreté la vidéo à la 1minute et 20 dégouté, tout simplement.

[maxfisher]

ben je suis pas dans le monde alors, je suis plus choqué par ce que fait israel...

[موحمحمد-وغ]

Arrêtez de mentir : à ce jour, aucun cas de viol par des combattants du Hamas n’a été documenté. Tous les témoignages donnés par les femmes israéliennes libérées par le Hamas reconnaissent le bon traitement et la plus haute moralité.

[christianreynier]

Depuis le 7 octobre 2023, les peuples du monde entier assistent, atterrés, au massacre sauvage des innocents à Gaza et se demandent comment les Occidentaux, qui se prétendent supérieurement civilisés, peuvent unanimement soutenir cette barbarie. Ils cherchent l’explication d’une telle insensibilité dans notre passé colonial, notre sentiment de supériorité, notre égoïsme et notre cupidité. Tout cela est vrai, mais ce n’est pas la raison principale, qui crève les yeux tout en étant volontairement occultée : Israël est notre créature, nous lui avons tout passé depuis que nous l’avons créé et nous en avons fait un monstre que, tel le Golem, nous ne maîtrisons plus. Nos dirigeants sont à la merci d’Israël et les autres grandes puissances ont les mains liées, car ni la Russie, ni la Chine, ni l’Iran, ni les pays arabes, ne peuvent se permettre de déclencher un conflit qui anéantirait toute leur région.

[medalibouzaoueche]

Vous n'avez pas honte de dire qu'il ya eu des viols. Vous n'avancez meme pas de preuves. Seulement les allégations des dirigeants isr..liens

[ahmtemr]

Pour l'Hamas > Massacre
Pour l'Israël > Offensive militaire

Une comparaison tout à fait juste :)

[khalidfakharleo]

Il y a pas eu de viol, c' est faux, et l"histoire ne commence pas le 7 octobre 2003 mais en 1948, et elle va pas terminer avec cette petite bataille. J'avais du repect pour la france et les francais, mais la....les cartes sont joué...

[Sunfyre]

Juste 4 points :
1) vous avez une preuve pour les viols commis par le Hamas ? Ou vous répétez juste comme des perroquets la version d'une partie au conflit, à savoir le gouv israélien ?
2) il ne s'agit pas de "prisonniers" Palestiniens mais bien d'otages. La majorité des Palestiniens liberés étaient détenus sans raison et sous régime militaire. Régime militaire qui n'est appliqué uniquement qu'aux Palestiniens en terre occupée et non aux colons par exemple. D'où la qualification d'état d'apartheid par HRW, Btsellem et Amnesty International.
3) il ne s'agit pas de "demandes d'évacuation" mais de déplacement forcé. Les mots ont leur importance.
4) quel est exactement le nombre d'Israéliens tués par leur propre gouvernement ? On sait que des tanks et des hélicoptères de combat ont été déployés le 7 octobre et ont bien fait feu sur les kibboutz et des participants au festival. Ce n'est pas moi qui le dit mais les médias israéliens. Pourquoi, on entend jamais ces éléments-là en Occident ?

[nargesse]

Arte, une chaine qui perde de plus en plus son objectivité, par la suite sa crédibilité. Il suffit de lire le titre pour comprendre la subjectivité du contenu . Comment peut- on dire un conflit alors qu'il s'agit d'une colonisation israélienne du territoire palestinien ? Comment peut -on qualifier ce qui se passe actuellement de conflit, alors qu'on est devant des génocides, des nettoyages éthniques et une guerre israélienne menée contre les civils palestiniens. Résultats 21000 civils palestiniens dont 8000 enfants tués par des bombardements israeliens en 80 jours !

[LahbibLahbib-ud]

La chaîne de télévision ART aurait dû par souci d'objectivité inscrire ce reportage dans le contexte global de la création de l'état d'Israël au niveau du monde arabe par les Anglo-saxons qui remonte au début du 20ème siècle afin de reprendre l'historique et mesurer les conséquences de tout ce qui a fait depuis plus d'un siècle Les Historiens les écrivains et les grands journalistes pourraient éclairer et informer les générations actuelles Les jeunes journalistes hommes et femmes sont très intelligents et ont étudié dans des grandes universités mais ne disposent pas de l'expérience et du recul dont disposaient leurs confrères des années soixante et soixante-dix

[yan.l.]

Vous présentez le hamas comme un groupe terrorist. Expliquer le contexte ça serait bien. Et on appel aussi les prisonnier palestinian des otages. Soyez juste