La philosophie du temps - Le temps passe plus vite avec l'âge

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Avez-vous déjà eu l'impression que les années passent de plus en plus vite ? Lorsque nous étions enfants, les vacances semblaient interminables, mais maintenant nous clignons des yeux et nous sommes de nouveau en décembre.

Le temps s'accélère-t-il vraiment ou n'est-ce qu'une illusion dans notre esprit ? Aujourd'hui, je me plonge dans la philosophie du temps pour comprendre pourquoi nous avons l'impression que les jours passent vite et ce que nous pouvons faire pour ralentir cette perception.

En explorant les explications des neurosciences, de la psychologie et les réflexions de philosophes tels que Saint-Augustin et Henri Bergson, je découvre comment notre routine, le manque de nouvelles expériences et notre état émotionnel affectent directement la façon dont nous percevons le temps. La bonne nouvelle ? Il existe des moyens pratiques d'inverser ce sentiment et de donner plus de sens à chaque journée.

Si vous avez l'impression que le temps vous échappe, cette vidéo vous aidera à voir la vie d'une nouvelle manière ! Regardez jusqu'à la fin et dites-moi dans les commentaires : le temps vous semble-t-il s'accélérer ?
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Eh bien ! Très belle présentation du temps. Je suis pensionné depuis des années. J'ai encore mes enfants à charge. Chaque année, je me lance dans un apprentissage différent, et je n'ai jamais connu l'ennui dans ma courte vie, pas que je vive en mode « suractivité » en permanence, car même si parfois je rêve de pouvoir m'ennuyer et connaître la solitude subie, je vis chaque instant, jusqu'à me culpabiliser d'avoir un jour traversé la rue sans m'en rendre compte me demandant comment j'aurais pu obvier à l'accident éventuel sans savoir, après coup, si des voitures m'avaient laissé passer ou non ; une impression très désagréable à laquelle je suis totalement réfractaire : que la réalité présente m’échappe. J'essaie de ressentir chaque geste, comme taper le clavier pour coucher ces phrases, m'offre la sensation pleine de vivre. L'unique solitude subie fut lorsque ma fille changea de ville pour ses études et qu'elle ne rentre plus qu'une fois semaine ; ce jour-là fut un vide incommensurable, un abysse émotionnel qui engouffra un attachement sectionné irrémédiablement provoquant une tristesse crûment ressentie qu'il fallut que je lui substitue une autre activité. Leur mère et d’autres compagnes n’ont jamais causé de tels troubles. Ainsi, je me mis à apprendre le latin, et deux ans plus tard je découvrais les auteurs anciens dans leur idiome originel. Actuellement, et depuis début 2024, j'apprends la cuisine, et mon apprentissage se poursuit en régalant mon fils des plats réussis ainsi que des ratés, ce dont mon fils avec beaucoup de gentillesse s'est à tout moment adapté. Chaque pas devant moi est une avancée, un petit bonheur d'espérance. Je n'ai jamais ressenti le temps comme un passage perdu voire inutile de la vie. Ma jeunesse ne fut pas un long fleuve tranquille (ainsi que le reste de ma vie), chahutée entre une scolarité bâclée par l'expérience sur la chaussée avec une engeance crâneuse devant inéluctablement aboutir en centre fermé pour délinquants, auquel s'ensuivit un service militaire effectué à l'étranger et puis... la vie et ses reliefs. Et me voici, avec certes quelques regrets, mais sans trop de remords, et, globalement, plutôt satisfait avec un Himalaya de petits bonheurs, des monts Alaï au Manitur, alternant aux torrents de vicissitudes occasionnels, jonglant avec la mort davantage qu'avec l'amour sans trop de débris de la personnalité. Tant que l'existence reste un défi perpétuel, mon regard éclairé et mon cœur ouvert couvriront mon âme de leurs expériences.
Je ne crains pas l’ultime souffle, mais que sa faucheuse me happe sans douleur et je partirai telle une fleur, certes flétrie, mais c’est l’apanage du temps, n’est-ce pas... ?

Merlinki
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