Twin & Margad : Hear Me Now - 04/2024

Twin & Margad : Hear Me Now - 04/2024

[Constantinople-trrr]

L'imagination nous pousse parfois, à l'entendement. Des amours fantasmagoriques, souvenir enfoui dans notre subconscient, qui s'émancipe à la lecture d'une poésie, d'un tableau, d'une sculpture et de tous les arts en général. Là où les dérangés du cerveau verront dans cette vidéo un caractère obscène, personnellement, j’y vois une certaine poésie. Le mal est incarné par ceux qui en général en font une mauvaise interprétation avec un esprit étroit. L’être humain fait preuve de pudeur par devant, et le contraire par derrière. Au détour de la vie, l’intellect nous suggère parfois des pensées sorties du cadre conventionnel. La beauté ne surgit pas automatiquement de ce que l’on voit, mais de ce que l’on imagine. C’est fou, ce que le corps d’une femme peut renfermer comme secret, comme allégorie, immortalisé par les artistes à travers les siècles… Je ne vous ai pas perdu, vous me suivez toujours ? Si d’aventure la chance me sourit, alors, je ferai comme Paul Gauguin, je partirai en terre inconnue à l’autre bout du monde, me remettre au dessin et à la peinture pour enfin refermer ce funeste livre. Je n’ai certes pas son talent, cependant, peut-être retrouverais-je les traits du passé. Plus de téléphone, plus d’internet, le retour à une vie simple et à des valeurs plus nobles. On pense que les gens sont tels que l’on les imagine, mais en réalité, ils sont tout autres, de ce fait, cela m’attriste et me désespère. Pour l’heure, je m’évade au fil du temps avec ma douce amie, la musique. 1 an, c’est le temps que je me donne pour tout liquider et disparaitre du paysage. Ma vie n’aura été qu’un recueil de mémoires.

Dans ce vaste aquarium que compte ce petit monde, deux espèces cohabitent. La femme sublime l’espace quand l’homme le dénature. Coucou Polynésie, à très bientôt je l’espère, si Dieu le veut.