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Kotéba, de Seydou Boro, au cdbm février 2022

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Kotéba, de Seydou Boro, au cdbm du 14 au 17 février 2022
« Kotéba », c’est la forme de théâtre traditionnel bambara.
Pour cette création, Seydou Boro s’inspire d’un rite, le « Boûgô », qui permet à ses pratiquants de moquer les comportements conflictuels, de dénoncer ou de confesser de mauvaises actions. Sous les traits d’un personnage masqué, la parole est alors libérée, entendue, acceptée et respectée par les villageois.
L’inceste, le viol, l’abus... Comment dire l’indicible ?
Pour ce retour au solo, sa dernière pièce de danseur, Seydou Boro sera ce « diable », dont surgissent voix et états de corps, cette forme humaine et abstraite, traversée par les indignations d’un homme face à l’inacceptable.
« Le diable se joue de nous. Comment peut-on mettre un enfant au monde et vouloir sa mort ? Comment peut-on utiliser le sexe comme une arme de guerre ? Pourquoi sommes-nous des sujets soumis au pouvoir des hommes ? Paroles chorégraphiques, tissées d’images et de gestes, cette pièce, teintée de Vaudou et de Butô, invoque des mots qui claquent et qui dansent. Des récits de vie côtoient des cris de révolte. Cette création est ma dernière en tant qu’interprète. Alors je danse ! »
- Seydou Boro -
Production : Corps d’Hommes - Cie Seydou Boro
Coproduction : Singel International Arts Campus, VIADANSE – CCN de Bourgogne Franche-Comté à Belfort, POLE-SUD-CDCN Strasbourg et Les Francophonies
Des écritures à la scène avec le soutien : de l’Institut Français Paris, de La Briqueterie CDCN du Valde-Marne, du Théâtre Louis Aragon SCIN Art et création – danse de Tremblay-en-France et de la Termitière CDCN de Ouagadougou.
« Kotéba », c’est la forme de théâtre traditionnel bambara.
Pour cette création, Seydou Boro s’inspire d’un rite, le « Boûgô », qui permet à ses pratiquants de moquer les comportements conflictuels, de dénoncer ou de confesser de mauvaises actions. Sous les traits d’un personnage masqué, la parole est alors libérée, entendue, acceptée et respectée par les villageois.
L’inceste, le viol, l’abus... Comment dire l’indicible ?
Pour ce retour au solo, sa dernière pièce de danseur, Seydou Boro sera ce « diable », dont surgissent voix et états de corps, cette forme humaine et abstraite, traversée par les indignations d’un homme face à l’inacceptable.
« Le diable se joue de nous. Comment peut-on mettre un enfant au monde et vouloir sa mort ? Comment peut-on utiliser le sexe comme une arme de guerre ? Pourquoi sommes-nous des sujets soumis au pouvoir des hommes ? Paroles chorégraphiques, tissées d’images et de gestes, cette pièce, teintée de Vaudou et de Butô, invoque des mots qui claquent et qui dansent. Des récits de vie côtoient des cris de révolte. Cette création est ma dernière en tant qu’interprète. Alors je danse ! »
- Seydou Boro -
Production : Corps d’Hommes - Cie Seydou Boro
Coproduction : Singel International Arts Campus, VIADANSE – CCN de Bourgogne Franche-Comté à Belfort, POLE-SUD-CDCN Strasbourg et Les Francophonies
Des écritures à la scène avec le soutien : de l’Institut Français Paris, de La Briqueterie CDCN du Valde-Marne, du Théâtre Louis Aragon SCIN Art et création – danse de Tremblay-en-France et de la Termitière CDCN de Ouagadougou.