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Je suis de celles - Bénabar - Interprétée par Marie-Josèphe 🦋💝🌷🌷🌷

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Bonjour mes amies, bonjour mes amis 🌷
Une belle sensibilité dans cette chanson de Bénabar qu'il me tenait à cœur de repenser en version féminine 🌷
J’aimerais la dédicacer à toutes celles qui, par affection, par gentillesse ou simplement pour se sentir aimées, ont offert un jour la chaleur de leurs bras💝
A toutes les « premières fois »🌹🌹🌹
Je vous souhaite une agréable écoute et une douce fin de semaine.
Encore un grand MERCI à chacun de vous pour votre soutien si stimuant au fil de mes partages🙏 et BIENVENUE aux nouveaux abonnés 😊
MJ 🌷🌷🌷🌷🌷
**************
Tiens, qu'est-ce que tu fais là?
C'est moi, c'est Nathalie
Quoi, tu me reconnais pas?
Mais si
On était ensemble au lycée
C'est vrai, j'ai changé
J'ai des enfants, un mari
Bah quoi, t'as l'air surpris
J'étais pas destinée
À une vie bien rangée
J'étais perdue
Mon mari m'a trouvée
J'étais de celles
Qui disent jamais non
Les "Marie couche-toi là"
Dont on oublie le nom
J'étais pas la jolie
Moi, j'étais sa copine
Celle qu'on voit à peine
Qu'on appelle machine
J'avais deux ans de plus
Peut-être deux ans de trop
Et j'aimais les garçons
Peut-être un peu trop
Bien sûr, vous aviez eu
Des dizaines de conquêtes
Que personnes n'avaient vues
Toujours pendant les fêtes
Pour beaucoup d'entre vous
Je suis la première fois
De celles qui comptent
Mais pas tant que ça
Je n'étais pas de celles
À qui l'on fait la cour
Moi, j'étais de celles
Qui sont déjà d'accord
Vous veniez chez moi
Mais dès le lendemain
Vous refusiez en public
De me tenir la main
Quand vous m'embrassiez
À l'abri des regards
Je savais pourquoi
Pour pas qu'on puisse nous voir
Alors je fermais les yeux
À m'en fendre les paupières
Pendant que pour guetter
Vous les gardiez ouverts
Je me répétais
" Faut pas que je m'attache "
Vous vous pensiez
" Il faut pas que ça se sache "
Mais une fois dans mes bras
Vos murmures essoufflés
C'est à moi, rien qu'à moi
Qu'ils étaient destinés
Enlacée contre vous
À respirer vos cheveux
Je le sais, je l'affirme
Vous m'aimiez un peu
Certaines tombent amoureuses
C'est pur, ça les élève
Moi, je tombais amoureuse
Comme on tombe d'une chaise
Et gonflés de l'avoir fait
Vous donniez conférence
Une souris qu'on dissèque
Mon corps pour la science
Je nourrissais
Vos blagues de caserne
Que vous pensiez viriles
Petits hommes des cavernes
D'avoir pour moi
Un seul mot de tendresse
Vous apparaissez
Comme la pire des faiblesses
Vous les fiers à bras
Vous parliez en experts
Oubliant qu'dans mes bras
Vous faisiez moins les fiers
Et les autres filles
Perfides petites saintes
M'auraient tondue les cheveux
À une autre époque
Celles qui ont l'habitude
Qu'on les cajole
Ignorent la solitude
Que rien ne console
Vous veniez chez moi
Mais dès le lendemain
Vous refusiez en public
De me tenir la main
*********
🌹Oye, ¿qué haces aquí?
Soy yo, soy Nathalie.
¿Qué, no me reconoces?
Pero si
Estábamos juntos en la escuela secundaria.
Es verdad, he cambiado.
tengo hijos, un marido
Bueno, pareces sorprendido
no estaba destinado
A una vida bien ordenada
Yo estaba perdido
mi marido me encontro
Yo era uno de esos
Quien nunca dice que no
El “María acuéstate ahí”
Cuyo nombre olvidamos
yo no era la bonita
yo era su novia
El que apenas vemos
Lo que llamamos máquina
yo era dos años mayor
Quizás dos años demasiado
Y me gustaban los chicos
Quizás demasiado
Por supuesto que tuviste
Decenas de conquistas
que nadie habia visto
Siempre durante las vacaciones
Para muchos de ustedes
soy la primera vez
De los que cuentan
Pero no tanto
yo no era uno de esos
a quien cortejamos
Yo era uno de esos
Quien ya esta de acuerdo
viniste a mi casa
Pero al día siguiente
Te negaste en público
para tomar mi mano
cuando me besaste
A puerta cerrada
Yo sabía por qué
Para que nadie pueda vernos
Entonces cerré los ojos
Para romper mis párpados
mientras mira
Los mantuviste abiertos
me repetí a mi mismo
"No tengo por qué apegarme".
Pensaste que
"No debe saberse".
Pero una vez en mis brazos
Tus susurros sin aliento
Es mío, sólo mío
que estaban destinados
Abrazado contra ti
Para respirar tu cabello
Lo sé, lo afirmo.
Me amaste un poco
algunos se enamoran
Es puro, los eleva.
Me enamoré de
Como caer de una silla
Y entusiasmado por haberlo hecho.
Estabas dando una conferencia
Un ratón siendo disecado
Mi cuerpo para la ciencia
me alimenté
tus chistes de cuartel
que pensabas varonil
Pequeños hombres de las cavernas
tener para mi
Una sola palabra de ternura
Tú apareces
Como la peor debilidad
Ustedes orgullosos en brazos
Hablaste como expertos
olvidando eso en mis brazos
Estabas menos orgulloso
y las otras chicas
Pequeños santos pérfidos
Me hubiera cortado el pelo
en otra era
Los que están acostumbrados a
Que se dejen engatusar
Ignorando la soledad
que nada consuela
viniste a mi casa
Pero al día siguiente
Te negaste en público
para tomar mi mano.🌹
*************
Une belle sensibilité dans cette chanson de Bénabar qu'il me tenait à cœur de repenser en version féminine 🌷
J’aimerais la dédicacer à toutes celles qui, par affection, par gentillesse ou simplement pour se sentir aimées, ont offert un jour la chaleur de leurs bras💝
A toutes les « premières fois »🌹🌹🌹
Je vous souhaite une agréable écoute et une douce fin de semaine.
Encore un grand MERCI à chacun de vous pour votre soutien si stimuant au fil de mes partages🙏 et BIENVENUE aux nouveaux abonnés 😊
MJ 🌷🌷🌷🌷🌷
**************
Tiens, qu'est-ce que tu fais là?
C'est moi, c'est Nathalie
Quoi, tu me reconnais pas?
Mais si
On était ensemble au lycée
C'est vrai, j'ai changé
J'ai des enfants, un mari
Bah quoi, t'as l'air surpris
J'étais pas destinée
À une vie bien rangée
J'étais perdue
Mon mari m'a trouvée
J'étais de celles
Qui disent jamais non
Les "Marie couche-toi là"
Dont on oublie le nom
J'étais pas la jolie
Moi, j'étais sa copine
Celle qu'on voit à peine
Qu'on appelle machine
J'avais deux ans de plus
Peut-être deux ans de trop
Et j'aimais les garçons
Peut-être un peu trop
Bien sûr, vous aviez eu
Des dizaines de conquêtes
Que personnes n'avaient vues
Toujours pendant les fêtes
Pour beaucoup d'entre vous
Je suis la première fois
De celles qui comptent
Mais pas tant que ça
Je n'étais pas de celles
À qui l'on fait la cour
Moi, j'étais de celles
Qui sont déjà d'accord
Vous veniez chez moi
Mais dès le lendemain
Vous refusiez en public
De me tenir la main
Quand vous m'embrassiez
À l'abri des regards
Je savais pourquoi
Pour pas qu'on puisse nous voir
Alors je fermais les yeux
À m'en fendre les paupières
Pendant que pour guetter
Vous les gardiez ouverts
Je me répétais
" Faut pas que je m'attache "
Vous vous pensiez
" Il faut pas que ça se sache "
Mais une fois dans mes bras
Vos murmures essoufflés
C'est à moi, rien qu'à moi
Qu'ils étaient destinés
Enlacée contre vous
À respirer vos cheveux
Je le sais, je l'affirme
Vous m'aimiez un peu
Certaines tombent amoureuses
C'est pur, ça les élève
Moi, je tombais amoureuse
Comme on tombe d'une chaise
Et gonflés de l'avoir fait
Vous donniez conférence
Une souris qu'on dissèque
Mon corps pour la science
Je nourrissais
Vos blagues de caserne
Que vous pensiez viriles
Petits hommes des cavernes
D'avoir pour moi
Un seul mot de tendresse
Vous apparaissez
Comme la pire des faiblesses
Vous les fiers à bras
Vous parliez en experts
Oubliant qu'dans mes bras
Vous faisiez moins les fiers
Et les autres filles
Perfides petites saintes
M'auraient tondue les cheveux
À une autre époque
Celles qui ont l'habitude
Qu'on les cajole
Ignorent la solitude
Que rien ne console
Vous veniez chez moi
Mais dès le lendemain
Vous refusiez en public
De me tenir la main
*********
🌹Oye, ¿qué haces aquí?
Soy yo, soy Nathalie.
¿Qué, no me reconoces?
Pero si
Estábamos juntos en la escuela secundaria.
Es verdad, he cambiado.
tengo hijos, un marido
Bueno, pareces sorprendido
no estaba destinado
A una vida bien ordenada
Yo estaba perdido
mi marido me encontro
Yo era uno de esos
Quien nunca dice que no
El “María acuéstate ahí”
Cuyo nombre olvidamos
yo no era la bonita
yo era su novia
El que apenas vemos
Lo que llamamos máquina
yo era dos años mayor
Quizás dos años demasiado
Y me gustaban los chicos
Quizás demasiado
Por supuesto que tuviste
Decenas de conquistas
que nadie habia visto
Siempre durante las vacaciones
Para muchos de ustedes
soy la primera vez
De los que cuentan
Pero no tanto
yo no era uno de esos
a quien cortejamos
Yo era uno de esos
Quien ya esta de acuerdo
viniste a mi casa
Pero al día siguiente
Te negaste en público
para tomar mi mano
cuando me besaste
A puerta cerrada
Yo sabía por qué
Para que nadie pueda vernos
Entonces cerré los ojos
Para romper mis párpados
mientras mira
Los mantuviste abiertos
me repetí a mi mismo
"No tengo por qué apegarme".
Pensaste que
"No debe saberse".
Pero una vez en mis brazos
Tus susurros sin aliento
Es mío, sólo mío
que estaban destinados
Abrazado contra ti
Para respirar tu cabello
Lo sé, lo afirmo.
Me amaste un poco
algunos se enamoran
Es puro, los eleva.
Me enamoré de
Como caer de una silla
Y entusiasmado por haberlo hecho.
Estabas dando una conferencia
Un ratón siendo disecado
Mi cuerpo para la ciencia
me alimenté
tus chistes de cuartel
que pensabas varonil
Pequeños hombres de las cavernas
tener para mi
Una sola palabra de ternura
Tú apareces
Como la peor debilidad
Ustedes orgullosos en brazos
Hablaste como expertos
olvidando eso en mis brazos
Estabas menos orgulloso
y las otras chicas
Pequeños santos pérfidos
Me hubiera cortado el pelo
en otra era
Los que están acostumbrados a
Que se dejen engatusar
Ignorando la soledad
que nada consuela
viniste a mi casa
Pero al día siguiente
Te negaste en público
para tomar mi mano.🌹
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