KCEP - SUR LE FIL (le chemin propre dans les mouvements du monde)

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Lyrics :
Ce monde est terreau pour
la croissance sous le vent des discours :
quand le micro s'allume,
la voix dépeint la vue que je note et assume.
Je remarque que l'éclat et la foudre,
peuvent déchirer des voiles mais pas vie recoudre,
puisque le savoir faire de celui qui énonce
n'est pas de brimer l'âme jusqu'à ce qu'elle renonce.
Je pourrais peindre la page,
de ce qui peut vous atteindre, de tout ce qui fait rage :
le système et ses crises,
prévisions et surprises,
les débats de surface et puis les prises d'otages.
Les gens qui meurent soudain et puis les listes noires,
les naissances médiatiques des stars et leurs histoires.
Ces drames qui appuieront cette idée d'impuissance,
qui montreront de l'Homme toute l'insuffisance.
Ces questions intéressent mais ces questions font peur,
priorité est telle qu'on a plus trop le temps de rechercher l'erreur.
Je ne dis pas des choses si étranges,
ici-bas certains souffrent et puis certains s'arrangent,
certains tirent de leur peine la puissance de leurs anges,
certains ont de quoi faire mais en fait pas vraiment,
certains aspirent à plus et puis le cherchent gaiement.
En fin de compte l'existence est régie
par le regard porté,
Puis qu'enfin si le cœur réagit
lumière est apportée.
Les souhaits et les prières pour moi sont similaires.
Celui qui scrute le cœur en défait les barrières,
pour celui qui a soif de l'expérience utile,
seront données l'accès des aiguillages subtils
comme une chance de savoir au présent,
si une voie est au but appât ou bien présent.
La pensée s'embarrasse des doutes de ses gestes,
mais l'intention annule toute action indigeste.

Ce monde est conséquence
de la foi fuyant l'homme à l'idée des souffrances,
de la langue qui se double comme celle des vipères.
Des enfants que l'on trouble en brisant leurs repaires
en leur montrant chaque jour que les nouvelles richesses,
sont des voitures qui elles apporteraient la vitesse.
On est libre de se couvrir de honte,
mais exposer sa foi dérange au bout du compte,
pour être pris au sérieux il faut aimer le mal,
demande au vieux chamans si en buvant la liane ils disaient "faire du sale".
Ce monde est la demeure
d'un champ céréalier :
les germes et les fruitiers plantés par les semeurs
des hommes serait à lier.
L'injustice a fait naître la révolte
ou bien un mal tenace
avec ce qu'on récolte
pratiquer la vie ou alors la menace,
associée à l'idée du facteur
d'être ici ce qu'on veut voir ailleurs,
de devenir un moteur
aspirant précurseur de son propre bonheur.
Keyril CEP.
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