Ukraine : une séquence de propagande se transforme en épisode de l'arroseur arrosé

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Chaque jour, Bruno Donnet regarde la télévision, écoute la radio et scrute les journaux ainsi que les réseaux sociaux pour livrer ses télescopages. Ce lundi, il s'intéresse à un reportage édifiant de France 2 sur le conflit en Ukraine.

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Комментарии
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Merci Europe 1 de faire du vrai journalisme sans propagande, cela devient rare.

gogoyubari
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Georges Kennan (Diplomate, politologue et historien américain 1904-2005) a dit en 1998 - Je cite : "C'est une erreur tragique. Il n'y a aucune raison d'étendre l'OTAN. Cela va entrainer une réaction hostile de la part de la Russie, et alors ceux qui auront choisi d'étendre l'OTAN diront qu'ils vous avaient bien dit que les Russes étaient comme cela. Mais c'est tout simplement malhonnête." Donc qui cherche qui dans cette histoire ? et à quelle fin ?

HugDarnet
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Bonne chronique Monsieur Donnet ! C'est pour cela que nous avons besoin d'un service public et que votre propriétaire était récemment entendu dans le cadre d'une commission d'enquête du sénat sur la concentration des médias en France.

edouardmontfort
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Ils ne sont que des comédiens comme leur chef et plus dans la propagande

yeditv
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Ben ouais, c'est comme en France, on propage mais une bière a la main devant la

marceloud
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Les journalistes sont devenu journal opes en France.

revolution
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"et qui nous change un peu de la guerre des supermarchés" mhm... je sais pas trop comment prendre cette conclusion...

lisasch
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Merci Europe 1 honte PR le gouvemnt Francais
Macron en 1

simerenato
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L'ennemi n'a aucune chance, sérieux faut être réaliste.

oualidnoureddine
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"As they spread the propaganda of war, we must spread the propaganda of peace.”
~Martin Luther King Jr. 🕊️

RGAMBLER
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lundi 16 mai Crimée 24. 

Des journalistes étrangers viennent dans les territoires libérés de l'Ukraine pour constater par eux-mêmes la situation des régions où se déroule l'opération spéciale. Après ce qu'ils ont vu, ils sont personnellement convaincus que la vie paisible commence à s'épanouir dans ces territoires grâce à l'armée russe.

Le journal italien "ilGiornale" a publié un article sur la vie à Melitopol. Désormais, les habitants de l'Europe peuvent apprendre la vérité sur la construction de la vie dans les territoires libérés : l'introduction du rouble, l'ouverture des banques, etc.

Les journalistes ont interviewé des représentants des autorités locales, qui ont raconté comment Melitopol vit maintenant et quels projets pour l'avenir.

Ils ont accompagné leurs documents de photographies de bannières avec le général soviétique Pavel Sudoplatov, le ruban de Saint-Georges et le drapeau russe

c.o.elegio.p.n
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La grande famine
De fortes résistances à la collectivisation subsistent en Ukraine où la paysannerie a développé au fil de l'Histoire des structures comparables à celles que l'on rencontre en Occident : beaucoup de petits propriétaires attachés à leur terre, à leur pope (le curé orthodoxe) et à leur église.

C'est ainsi qu'en 1932, le pouvoir soviétique resserre la pression sur les paysans d'Ukraine, coupables de n'en faire qu'à leur tête et suspects de nationalisme. Les représentants du Parti multiplient les réquisitions forcées, y compris dans les fermes collectives.

Chacun tente de survivre. C'est alors que survient la sinistre « loi des épis » du 7 août. Elle va occasionner la déportation ou la mort de milliers de citoyens pour le vol de quelques grains ou d'une pomme de terre et permettre à l'État de s'approprier la quasi-totalité de la moisson !

Avec l'arrivée de l'hiver, sans surprise, survient la famine. De longues files de malheureux errent le long des routes en quête de subsistance et gagnent les villes en quête de travail et secours. Mais le gouvernement communiste ne reste pas sans réagir : à la fin décembre 1932, il institue un passeport unique pour tout le pays, avec interdiction pour quiconque de quitter son village de résidence sans autorisation du Parti !

Affaiblis, les gens meurent de froid et de faim dans leurs cabanes, le long des routes ou sur les trottoirs des grandes villes d'Ukraine, quand ils ne sont pas déportés sur un ordre arbitraire du Parti.

dadou
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Rien d'étonnant ! c'est la guerre. Tout peut arriver. On n'est pas à Europe 1. Par ailleurs chapeau pour Mme Burgot notre téméraire journaliste ainsi que pour le cameraman.

jeanguydewargny
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J'ai pas compris, il aurait dû faire quoi ? Marcher fièrement au milieu des obus et se faire tuer ? C'est pas normal de se protéger ? Ils font pas ça les militaires normalement, histoire de pas mourir et de pouvoir continuer à être utiles ?

Trip_mania
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Pourquoi il parle avec les mains😓on dirait Hidalgo..un nouveau type de personnes « mime »

youtriplana
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l’exemple d’Europe 1, dont les audiences s’amenuisent de mois en mois, démontre l’inefficacité des grands chambardements et des retouches permanentes à la ligne éditoriale d’une station. Fin juin, cela fera un an que la radio du groupe Lagardère a été reprise en main par Vivendi et Vincent Bolloré, et ses programmes rapprochés de ceux de la très droitière chaîne d’info en continu CNews. Sans effet positif, bien au contraire : Europe 1 perd 583 000 auditeurs en un an, pour 3, 9% d’audience cumulée (contre 5% sur la même période en 2021). Même Constance Benqué, a directrice du pôle news de Lagardère, en dresse un constat cruel. Selon elle, Europe 1 pisse le sang comme elle l’a décrit auprès de la Société des journalistes

paulmonteiro
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En tout cas, ça prouve que l'agresseur est bien la Russie !
Contrairement à ce que prétend Vlad...

charliebravo