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Zoufris Maracas - Démocratie (version brute)

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Allez voter bordel !
(François à la batterie, Piteri à la basse, Yan au trombone)
PAROLES :
Dans un p’tit pays qu’on appelait France un jour on élit un petit gars rance
Le brushing garni et l’air dégueulasse empli de mépris pour la populasse
Il fliquait les gens pour leur faire peur ,avait à sa botte la télévision
Vantait les mérites d’un plus dur labeur, fréquentait les riches sans inhibition
Démocratie, tous les jours je bouffe ce même pain rassis
Démocratie, pendant que moi j’bosse les riches restent assis
Démocratie, tu m’esclavagises et tu fais comme si
Démocratie, à droite comme à gauche j’ai le même souci
Il avait vendu le pays entier à des businessmen et à des banquiers
En se foutant bien des acquis sociaux qu’il avait rayé du bout du stylo
Il avait privatisé la santé piqué les vieillards piqué les bébés
Piqué les milliards via ses sociétés qu’il avait basées sur les iles tétés
Démocratie, tous les jours je bouffe ce même pain rassis
Démocratie, pendant que moi j’bosse les riches restent assis
Démocratie, tu m’esclavagises et tu fais comme si
Démocratie, à droite comme à gauche j’ai le même souci
Mais je connais quelqu’un qui connait quelqu’un qui connait quelqu’un
Les gens prirent conscience qu’ils se connaissaient
De l’instituteur jusqu’à l’épicier
De monsieur l’facteur jusqu’au boulanger
De l’agriculteur jusqu’à monsieur l’plombier
Qu’ils n’étaient pas très amis du banquier , ni de monsieur l’maire ni de m’sieur préfet
Ni des ministères ni des pdg ni des militaires ni des policiers
Alors ils décidèrent de s’en passer
De leur couper l’eau de les priver de manger
Il seraient eux mêmes maitres du gâteau et sauraient bien mieux se le partager
Plutôt que d’laisser ceux-la d’venir gros , ils auraient pour une fois tous à manger
Démocratie, tous les jours je bouffe ce même pain rassis
Démocratie pendant que moi j’bosse les riches restent assis
Démocratie, tu m’esclavagises et tu fais comme si
Démocratie, à droite comme à gauche j’ai le même souci
C’est ainsi que tomba le petit prince de son piedestal construit de billets
Du fond d’sa cellule je l’entend qu’il grince
D’avoir eu si mal de dégringoler
Qu’il est mal nourri qu’il est mal logé
Que sa cellule fouette l’insalubrité
Qu’il supporte mal la promiscuité avec ceux qu’hier il a enfermé
Démocratie, tous les jours je bouffe ce même pain rassis
Démocratie, pendant que moi j’bosse les riches restent assis
Démocratie, tu m’esclavagises et tu fais comme si
Démocratie, à droite comme à gauche j’ai le même souci
Auteur Sanchez Vincent et ZOUFRIS MARACAS
(François à la batterie, Piteri à la basse, Yan au trombone)
PAROLES :
Dans un p’tit pays qu’on appelait France un jour on élit un petit gars rance
Le brushing garni et l’air dégueulasse empli de mépris pour la populasse
Il fliquait les gens pour leur faire peur ,avait à sa botte la télévision
Vantait les mérites d’un plus dur labeur, fréquentait les riches sans inhibition
Démocratie, tous les jours je bouffe ce même pain rassis
Démocratie, pendant que moi j’bosse les riches restent assis
Démocratie, tu m’esclavagises et tu fais comme si
Démocratie, à droite comme à gauche j’ai le même souci
Il avait vendu le pays entier à des businessmen et à des banquiers
En se foutant bien des acquis sociaux qu’il avait rayé du bout du stylo
Il avait privatisé la santé piqué les vieillards piqué les bébés
Piqué les milliards via ses sociétés qu’il avait basées sur les iles tétés
Démocratie, tous les jours je bouffe ce même pain rassis
Démocratie, pendant que moi j’bosse les riches restent assis
Démocratie, tu m’esclavagises et tu fais comme si
Démocratie, à droite comme à gauche j’ai le même souci
Mais je connais quelqu’un qui connait quelqu’un qui connait quelqu’un
Les gens prirent conscience qu’ils se connaissaient
De l’instituteur jusqu’à l’épicier
De monsieur l’facteur jusqu’au boulanger
De l’agriculteur jusqu’à monsieur l’plombier
Qu’ils n’étaient pas très amis du banquier , ni de monsieur l’maire ni de m’sieur préfet
Ni des ministères ni des pdg ni des militaires ni des policiers
Alors ils décidèrent de s’en passer
De leur couper l’eau de les priver de manger
Il seraient eux mêmes maitres du gâteau et sauraient bien mieux se le partager
Plutôt que d’laisser ceux-la d’venir gros , ils auraient pour une fois tous à manger
Démocratie, tous les jours je bouffe ce même pain rassis
Démocratie pendant que moi j’bosse les riches restent assis
Démocratie, tu m’esclavagises et tu fais comme si
Démocratie, à droite comme à gauche j’ai le même souci
C’est ainsi que tomba le petit prince de son piedestal construit de billets
Du fond d’sa cellule je l’entend qu’il grince
D’avoir eu si mal de dégringoler
Qu’il est mal nourri qu’il est mal logé
Que sa cellule fouette l’insalubrité
Qu’il supporte mal la promiscuité avec ceux qu’hier il a enfermé
Démocratie, tous les jours je bouffe ce même pain rassis
Démocratie, pendant que moi j’bosse les riches restent assis
Démocratie, tu m’esclavagises et tu fais comme si
Démocratie, à droite comme à gauche j’ai le même souci
Auteur Sanchez Vincent et ZOUFRIS MARACAS
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