Accusé de Fraude et Menaces de Prison pour un Message

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En voulant écrire au ministère de la justice, j'ai eu la surprise de voir que lorsqu'on clique sur envoyer le message, on est immédiatement suspecté de fraude, de se maintenir dans leur systeme et je ne sais quel autre accusation fantaisiste simplement parce qu'on a utilisé la fonctionnalité de leur envoyer un message via le formulaire d'envoi d'email de leur site, ils considèrent ça comme un comportement inatendu qu'on leur envoie un message vie le formulaire d'envoi de message de leur site et encore en plus ils accusent de fraude et je ne sais quoi encore ! Le contenu du message n'a rien à voir puisque la page a affiché ce message immédiatement à la place de la confirmation d'envoi du message.

En réalité ces accusations sont du harcelement ou par suceptible on accuse en fait les gens d'être suceptibles d'être leurs victimes, victimes de leurs menaces de persécutions judiciaires pour le moindre prétexte même le plus fantaisiste qui soit. C'est à dire que comme les harceleurs, ils accusent en fait les victimes d'être encore en vie ce qui est prouvé par le message envoyé (se "maintenir dans le systeme" comme ils disent pompeusement), de manifester leur désir de (sur)vive en demandant de l'aide, etc.

Bonjour,
Nos dispositifs informatiques ont détecté un comportement inattendu. Ce comportement est susceptible de relever des articles 323-1 à 323-7 du Code pénal français, issus de la loi n°88-19 du 5 janvier 1988 et complétés par la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique.
Extrait de l’article 323-1 : «Le fait d'accéder ou de se maintenir, frauduleusement, dans tout ou partie d'un système de traitement automatisé de données est puni de deux ans d'emprisonnement et de 60 000 € d'amende.
Lorsqu'il en est résulté soit la suppression ou la modification de données contenues dans le système, soit une altération du fonctionnement de ce système, la peine est de trois ans d'emprisonnement et de 100 000 € d'amende.
Lorsque les infractions prévues aux deux premiers alinéas ont été commises à l'encontre d'un système de traitement automatisé de données à caractère personnel mis en œuvre par l'Etat, la peine est portée à cinq ans d'emprisonnement et à 150 000 € d'amende.»
Ministere de la Justice
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Комментарии
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Non je ne savais pas cet état de fait, incroyable !

chevalierjames