LOUNIS AIT MENGUELLET - AWKNI XDAA REBBI

preview_player
Показать описание
-------------------------------------------------------------------------------
Retrouvez-nous sur Facebook aussi !
------------------------------------------------------------------------------
N'hésitez pas à vous abonner, liker nos vidéos, et les partager avec vos amis et vos familles.
Retrouvez-nous sur la page Facebook de la chaine YouTube sur le lien suivant:
et n'oubliez pas à vous abonner pour nous encourager, et donner vos suggestions ou vos chansons préférées pour vous satisfaire
------------------------------------------------------------------------------
Рекомендации по теме
Комментарии
Автор

Traduction mélodique de : Akni khdae Rabbi (Que Dieu vous maudisse))

Nous appelons les aînés
Morts pour sa dignité
Même s'il se plaint, non entendu
Tous, un jour, ils ont disparu
Si on vous disait, ô frères
Tourmentés par le pays cher
Vous montrant comment on l'a rendu
Sur lui, des arbres ont pleuré

Cassé par l'éléphant pssant
Mangé par son frère, ajouté
Enterré par celui qui l'attend
Personne ne l'a limité

Chaque tare est inventée
C'est de vous qu'elle tient sa lignée
Quand on se dit : Terminée
Ce jour, plus que hier, s'avérant
Le pays cassé pleurant
Ne se reboutant, ni guéririssant
Un anathème, peut-être ayant
Sur vous, il va s'abattre, et

Un jour, si un vent soufflant
On souhaite, vous emportant
Vous, que tout s'assainisse
Et que Dieu vous maudisse



Quand elle avait commencé
Chacun y est allé, croyant
Pour la liberté
Mais pour vous, elle est parée
Le vrai objectif visant
Fut l’autorité
Votre propriété, devenue
Vous pourvus, nous, dépourvus
Révolution, appelée

Que Dieu vous trahisse


Le feu, quand il est passé
Orphelins et veuves, laissant
Des blessures, pleurs, et...
Celui mort, par sincérité
Sa maison déserte laissant
Vous, tous êtes restés
Au peuple, la bride, vous mettez
Marche ou donne l'identité

Que Dieu vous trahisse


Telle votre propriété
Mangée comme vous le voulez
Parmi vous, tombé
Vous, ce que vous voulez, il y a
Personne ne peut protester
Le peuple, il le voit
Votre bien, devient le pays
Qui dénonce, vous dites, c'est ainsi
Le socialisme, vous l'appelez

Que Dieu vous trahisse


Pour le tenir à jamais
Le pays est divisé
L'ouest, l'est, pour régner
Plus d'animosité
Les tisons toujours ranimés
A l'ombre, vous vous tenez
Entre nous, nous nous surveillons
Entre nous, nous nous frappons
Vous nous dites : ainsi est l'union

Que Dieu vous trahisse


Ce jour, même si, aliéné
Encore, défavorisés
Nous sommes éprouvés
Même si le feu s’éteignant
Nous sommes encore blessés
Car vous êtes présents
Nous, le peuple, guignard étant
Ce qu’on a, plus méritons
Encore, vous applaudissons

Que Dieu nous trahisse.



N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.

saidslimani
visit shbcf.ru