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LeZay - Minuit passé (Suno)
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Minuit Passé – LeZay
Minuit passé, j’suis pas bien, l’orage parle dans ma tête
Mes potes dorment pas, ils triment fort pour survivre sans dettes
Un joint qui chauffe, des regrets froids, j’connais la recette
Et quand le cœur parle, souvent la raison s’arrête
Ma daronne m’a dit d’pas m’perdre dans la haine et la rue
Mais j’lui mens souvent, j’lui dis qu’j’vais bien même quand j’suis foutu
J’traîne avec des types qui ont l’regard vide et l’sourire douteux
Mais parfois j’préfère ça qu’les faux love et les je t’aime foireux
Y a du silence dans mes phases, j’suis pas là pour le buzz
J’rappe pour ceux qui pleurent en scred’ en étouffant leurs vœux
J’connais les keums qu’ont trahi, les keums qu’ont sauté la cage
J’connais les mères qui prient pendant qu’le fils tourne mal dans l’garage
Encore une nuit blanche, un vécu sale
J’vois des étoiles que dans les flaques
J’roule la peine, j’dors sur le mal
Mais j’souris, comme si tout allait normal
On vit nos rêves dans des cauchemars
On fait l’amour, mais sans l’espoir
On parle peu, on cache les drames
Mais j’écris tout dans ce foutu placard
La vie me teste, j’me bats même quand j’sais qu’j’vais perdre
Le cœur glacé, les mains sales, j’avance en mode guerre
J’crois qu’les sentiments, j’les ai laissés au premier hiver
Quand j’ai vu qu’les promesses, c’est des armes avec des airs sincères
J’ai pas grandi dans les bons quartiers, mais j’ai grandi vite
J’ai appris qu’la vérité fait mal mais qu’elle rend solide
Mes rêves sont flous comme un pare-brise dans la buée
Mais j’suis têtu, même si la pluie m’fait douter
J’voulais l’amour, j’ai eu la distance
J’voulais la paix, j’ai eu l’vacarme
J’voulais grandir, j’ai eu l’urgence
Et dans tout ça, j’ai dû m’faire une arme
Et j’croise les gens, j’vois qu’ils vont mal
Mais ils sourient, comme si c’était normal
On parle plus, on s’évite dans le hall
On s’aime plus, on s’plie comme des feuilles dans le vent glacial
Encore une nuit blanche, un vécu sale
J’vois des étoiles que dans les flaques
J’roule la peine, j’dors sur le mal
Mais j’souris, comme si tout allait normal
On vit nos rêves dans des cauchemars
On fait l’amour, mais sans l’espoir
On parle peu, on cache les drames
Mais j’écris tout dans ce foutu placard
Minuit passé, j’suis pas bien, l’orage parle dans ma tête
Mes potes dorment pas, ils triment fort pour survivre sans dettes
Un joint qui chauffe, des regrets froids, j’connais la recette
Et quand le cœur parle, souvent la raison s’arrête
Ma daronne m’a dit d’pas m’perdre dans la haine et la rue
Mais j’lui mens souvent, j’lui dis qu’j’vais bien même quand j’suis foutu
J’traîne avec des types qui ont l’regard vide et l’sourire douteux
Mais parfois j’préfère ça qu’les faux love et les je t’aime foireux
Y a du silence dans mes phases, j’suis pas là pour le buzz
J’rappe pour ceux qui pleurent en scred’ en étouffant leurs vœux
J’connais les keums qu’ont trahi, les keums qu’ont sauté la cage
J’connais les mères qui prient pendant qu’le fils tourne mal dans l’garage
Encore une nuit blanche, un vécu sale
J’vois des étoiles que dans les flaques
J’roule la peine, j’dors sur le mal
Mais j’souris, comme si tout allait normal
On vit nos rêves dans des cauchemars
On fait l’amour, mais sans l’espoir
On parle peu, on cache les drames
Mais j’écris tout dans ce foutu placard
La vie me teste, j’me bats même quand j’sais qu’j’vais perdre
Le cœur glacé, les mains sales, j’avance en mode guerre
J’crois qu’les sentiments, j’les ai laissés au premier hiver
Quand j’ai vu qu’les promesses, c’est des armes avec des airs sincères
J’ai pas grandi dans les bons quartiers, mais j’ai grandi vite
J’ai appris qu’la vérité fait mal mais qu’elle rend solide
Mes rêves sont flous comme un pare-brise dans la buée
Mais j’suis têtu, même si la pluie m’fait douter
J’voulais l’amour, j’ai eu la distance
J’voulais la paix, j’ai eu l’vacarme
J’voulais grandir, j’ai eu l’urgence
Et dans tout ça, j’ai dû m’faire une arme
Et j’croise les gens, j’vois qu’ils vont mal
Mais ils sourient, comme si c’était normal
On parle plus, on s’évite dans le hall
On s’aime plus, on s’plie comme des feuilles dans le vent glacial
Encore une nuit blanche, un vécu sale
J’vois des étoiles que dans les flaques
J’roule la peine, j’dors sur le mal
Mais j’souris, comme si tout allait normal
On vit nos rêves dans des cauchemars
On fait l’amour, mais sans l’espoir
On parle peu, on cache les drames
Mais j’écris tout dans ce foutu placard
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