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La vie et la triste fin de Claude François
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La vie et la triste fin de Claude François
Avec Johnny Hallyday, Claude François était l'une des plus grandes stars du rock & roll français, émergeant lors du mouvement dit "yé-yé" du début des années 60. Comme Hallyday, ses premiers succès proviennent principalement d'adaptations françaises de tubes rock et folk en anglais, plutôt que de matériel original écrit spécialement pour lui.
Cependant, son image - des cheveux impeccablement coiffés et des costumes à paillettes fastueux - a joué un rôle tout aussi important dans sa popularité et a fait de lui une idole majeure des adolescents à son apogée, lorsque les fans l'ont surnommé "Clo-Clo". Il a habillé son quatuor très imité de danseurs de renfort, les Clodettes, dans des costumes encore plus flamboyants, ce qui a donné à son acte un attrait kitsch certain et est devenu une signature visuelle pour une grande partie de sa carrière.
Claude Marie Antoine François est né le 1er février 1939 à Ismaïlia, en Égypte, où son père d'origine française travaillait comme contrôleur du trafic maritime sur le canal de Suez. Sa mère d'origine italienne l'encourage musicalement, l'incitant à suivre des cours de violon et de piano ; François préférait cependant la batterie.
Lorsque l'Egypte a nationalisé le canal de Suez en 1956, François et sa famille ont été rapatriés en France, s'installant à Monte Carlo. Son père est tombé gravement malade peu de temps après et François a été contraint de trouver un emploi et d'aider à subvenir aux besoins de la famille. Il travaillait dans une banque le jour, mais s'est rapidement imposé comme batteur avec des orchestres locaux sur le circuit des hôtels et des discothèques.
Il a fait ses débuts professionnels avec Louis Frozio en 1957, malgré les objections acharnées de son père. Vers 1959, François commence à s'essayer au chant et remporte un franc succès auprès du public des stations balnéaires de la Côte d'Azur. En 1961, lui et sa première femme s'installent à Paris.
François a trouvé un concert avec Les Gamblers, mais a rapidement décidé de se lancer dans une carrière solo, espérant profiter de l'engouement du rock and roll naissant parmi la jeunesse parisienne. Toujours en 1961, il décroche un contrat d'enregistrement et sort un premier single, "Nabout Twist", sous le nom de Koko. Il a floppé.
Cependant, sa deuxième sortie, une adaptation d'Everly Brothers rebaptisée "Belles, Belles, Belles", a remporté un million de ventes pour Philips en 1962. Adopté comme idole des adolescents par la presse musicale française et l'émission populaire Salut Les Copains, il a marqué plusieurs autres succès au cours de l'année suivante, dont "Marche Tout Droit", "Pauvre Petite Fille Riche", "Dis-Lui" et le hit de 1963 "Si J'Avais un Marteau".
François a enregistré de manière prolifique au milieu des années 60, démarrant single après single et adaptation après adaptation. Il a ajouté la première version des Clodettes à son spectacle sur scène en 1966, ce qui lui a donné un tout nouvel attrait en concert, et a monté une autre tournée extrêmement réussie. Séparé depuis longtemps de sa première femme, il a eu une brève et très médiatisée idylle avec la chanteuse France Gall en 1967.
François a continué à se produire et à enregistrer avec un succès considérable pendant les années suivantes, mais s'est effondré et s'est effondré sur scène en 1971 lors d'un concert à Marseille. Il récupère brièvement aux Canaries et rentre en France pour se casser plusieurs os dans un grave accident de voiture.
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Bonjour et surtout bienvenue sur la chaîne Nikstok1 !
Nous sommes heureux de vous révéler des informations sur la vie et la triste fin des stars du cinéma. Leur vie célèbre mais avec des fins très tristes.
Avec Johnny Hallyday, Claude François était l'une des plus grandes stars du rock & roll français, émergeant lors du mouvement dit "yé-yé" du début des années 60. Comme Hallyday, ses premiers succès proviennent principalement d'adaptations françaises de tubes rock et folk en anglais, plutôt que de matériel original écrit spécialement pour lui.
Cependant, son image - des cheveux impeccablement coiffés et des costumes à paillettes fastueux - a joué un rôle tout aussi important dans sa popularité et a fait de lui une idole majeure des adolescents à son apogée, lorsque les fans l'ont surnommé "Clo-Clo". Il a habillé son quatuor très imité de danseurs de renfort, les Clodettes, dans des costumes encore plus flamboyants, ce qui a donné à son acte un attrait kitsch certain et est devenu une signature visuelle pour une grande partie de sa carrière.
Claude Marie Antoine François est né le 1er février 1939 à Ismaïlia, en Égypte, où son père d'origine française travaillait comme contrôleur du trafic maritime sur le canal de Suez. Sa mère d'origine italienne l'encourage musicalement, l'incitant à suivre des cours de violon et de piano ; François préférait cependant la batterie.
Lorsque l'Egypte a nationalisé le canal de Suez en 1956, François et sa famille ont été rapatriés en France, s'installant à Monte Carlo. Son père est tombé gravement malade peu de temps après et François a été contraint de trouver un emploi et d'aider à subvenir aux besoins de la famille. Il travaillait dans une banque le jour, mais s'est rapidement imposé comme batteur avec des orchestres locaux sur le circuit des hôtels et des discothèques.
Il a fait ses débuts professionnels avec Louis Frozio en 1957, malgré les objections acharnées de son père. Vers 1959, François commence à s'essayer au chant et remporte un franc succès auprès du public des stations balnéaires de la Côte d'Azur. En 1961, lui et sa première femme s'installent à Paris.
François a trouvé un concert avec Les Gamblers, mais a rapidement décidé de se lancer dans une carrière solo, espérant profiter de l'engouement du rock and roll naissant parmi la jeunesse parisienne. Toujours en 1961, il décroche un contrat d'enregistrement et sort un premier single, "Nabout Twist", sous le nom de Koko. Il a floppé.
Cependant, sa deuxième sortie, une adaptation d'Everly Brothers rebaptisée "Belles, Belles, Belles", a remporté un million de ventes pour Philips en 1962. Adopté comme idole des adolescents par la presse musicale française et l'émission populaire Salut Les Copains, il a marqué plusieurs autres succès au cours de l'année suivante, dont "Marche Tout Droit", "Pauvre Petite Fille Riche", "Dis-Lui" et le hit de 1963 "Si J'Avais un Marteau".
François a enregistré de manière prolifique au milieu des années 60, démarrant single après single et adaptation après adaptation. Il a ajouté la première version des Clodettes à son spectacle sur scène en 1966, ce qui lui a donné un tout nouvel attrait en concert, et a monté une autre tournée extrêmement réussie. Séparé depuis longtemps de sa première femme, il a eu une brève et très médiatisée idylle avec la chanteuse France Gall en 1967.
François a continué à se produire et à enregistrer avec un succès considérable pendant les années suivantes, mais s'est effondré et s'est effondré sur scène en 1971 lors d'un concert à Marseille. Il récupère brièvement aux Canaries et rentre en France pour se casser plusieurs os dans un grave accident de voiture.
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