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Le Char des Dieux (Pr Gervais Mendo Ze, La Voix du Cénacle)
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Chers Tous,
Nous avons le plaisir de vous présenter ce magnifique chant composé par le Professeur Gervais Mendo Ze et exécuté par sa chorale, La Voix du Cénacle. Ce chant parle de l'éruption volcanique, celle du Mont Cameroun. Les paroles du chant soulignent un fort champ lexical qui tourne autour de la personnification du volcan ; de fait, , le mont qui rougit, le volcan a des traits humains, des traits d'une personne. C'est ainsi par exemple que les paroles parlent de la pierre liquide qui sort de la "bouche" du cratère, du Mont qui "vomit" des gaz et des pierres. Cette "personnification est complétée par l'animalisation (ou, mieux, celle d'un monstre) : le volcan a des traits de bête vivante : "une énorme chenille rampante" (pour parler des coulées de lave), des pierres qui se déplacent comme un "géant dinosaure"... Cependant, malgré ce spectacle monstrueux, le Professeur nous invite à voir, dans ce déchainement des forces de la Nature, non pas quelque chose arrivé au hasard, mais un signe divin. L'éruption du Mt Cameroun apparaît donc comme un signe de Dieu, une réponse de ce dernier aux prières de ses fils (les Camerounais). Ce qui pousse particulièrement à y voir un signe divin est qu'il n'y a nullement eu de pertes en vies humaines, et ce nonobstant les dégâts matériels. C'est pourquoi le texte du chant nous dit : "Croyez que, malgré les dégâts patents, le Seigneur ait des vies humaines épargné". Après cela, le texte du chant nous rappelle quelques événements en lien avec le feu, dans la Bible. Le feu du Mt Cameroun est peut-être alors vu comme un signe de Dieu, excitant ses fils à méditer sur la signification du feu, dans les Ecritures. D'abord, la Géhenne ; ensuite, le Purgatoire, qui est un passage par le feu, passage par lequel les hommes sont purifiés totalement avant d'entrer dans la présence de Dieu ; la Pentecôte, qui est un événement majeur dans les écrits du Nouveau Testament, événement pendant lequel les apôtres reçoivent le Paraclet promis, l'Esprit Saint ; le Buisson Ardent, qui rappelle la présence de Dieu, c'est en le Buisson Ardent que Dieu révèle Son Nom (JE SUIS CELUI QUI SUIS) à Moïse ; et enfin, la Parousie. Ainsi, sous un événement semblant tout à fait naturel, le Professeur nous invitait, dans ce chant, à creuser, à y voir plus profondément, à comprendre que, dans cet événement naturel, se cachait un message surnaturel : un message divin... Il suffit de savoir l'interpréter. Telle est, selon notre compréhension du texte, l'analyse rapide que nous pouvons livrer de ce beau chant ! --- Le Saker D'Ahala
***
Voici les paroles du chant :
J'ai vu ! J'ai vu le feu torride,
Jaillir des entrailles de la terre.
J'ai vu ! J'ai vu la pierre liquide
Sortir de la bouche du cratère : formidable !
J'ai vu ! J'ai vu le Mont rougir
Et vomir et des gaz et des pierres !
J'ai vu le ruisseau de lave surgir
Et offrir un spectacle des plus austères.
Refrain*:
**Le Char des dieux, en furie, s'est mis, soudain,
Aux cris de ses fils dans le souci et le chagrin
Dieu a réagi et étendu la main**.
Imaginez une énorme chenille rampante
Se déployant telle une hydre à ressorts.
Considérez des pierres incandescentes
Se déplaçant comme un géant dinosaure :
C'est ce que j'ai vu !
Supposez des mottes de pierres rouge-feu
Se détachant les unes après les autres
Et dévorant tout sur leur passage hideux
Tel quelque monstre au volumineux ventre :
C'est ce que j'ai vu !
Refrain**
Croyez que, malgré les dégâts patents,
Le Seigneur ait des vies humaines épargné
Car simplement la lave a perdu de son allant
Et l'Océan voulant l'engloutir a été frustré :
C'est ce que j'ai vu !
Et la géhenne !... où ne s'éteint pas le feu ;
Et le Purgatoire !... un passage par le feu ;
Et la Pentecôte !... et ses langues de feu ;
Et le Buisson !... Dieu manifesté par le feu ;
Et la Parousie !... dévorante par le feu :
Ont envahi mon esprit langoureux
Alors j'ai dit : Dieu nous sauve !
_________
Paroles, musique : Pr. Gervais Mendo Ze
Solistes : Alice Ebodé ; François Mbonjo Kiye
Synthés/Orgues : Jean Jacques Adjomo ; François Minyono Nkodo
Percussions : Louis Mbani Atangana
Basse : Simon Ati
Exécution : Chorale La Voix du Cénacle
Nous avons le plaisir de vous présenter ce magnifique chant composé par le Professeur Gervais Mendo Ze et exécuté par sa chorale, La Voix du Cénacle. Ce chant parle de l'éruption volcanique, celle du Mont Cameroun. Les paroles du chant soulignent un fort champ lexical qui tourne autour de la personnification du volcan ; de fait, , le mont qui rougit, le volcan a des traits humains, des traits d'une personne. C'est ainsi par exemple que les paroles parlent de la pierre liquide qui sort de la "bouche" du cratère, du Mont qui "vomit" des gaz et des pierres. Cette "personnification est complétée par l'animalisation (ou, mieux, celle d'un monstre) : le volcan a des traits de bête vivante : "une énorme chenille rampante" (pour parler des coulées de lave), des pierres qui se déplacent comme un "géant dinosaure"... Cependant, malgré ce spectacle monstrueux, le Professeur nous invite à voir, dans ce déchainement des forces de la Nature, non pas quelque chose arrivé au hasard, mais un signe divin. L'éruption du Mt Cameroun apparaît donc comme un signe de Dieu, une réponse de ce dernier aux prières de ses fils (les Camerounais). Ce qui pousse particulièrement à y voir un signe divin est qu'il n'y a nullement eu de pertes en vies humaines, et ce nonobstant les dégâts matériels. C'est pourquoi le texte du chant nous dit : "Croyez que, malgré les dégâts patents, le Seigneur ait des vies humaines épargné". Après cela, le texte du chant nous rappelle quelques événements en lien avec le feu, dans la Bible. Le feu du Mt Cameroun est peut-être alors vu comme un signe de Dieu, excitant ses fils à méditer sur la signification du feu, dans les Ecritures. D'abord, la Géhenne ; ensuite, le Purgatoire, qui est un passage par le feu, passage par lequel les hommes sont purifiés totalement avant d'entrer dans la présence de Dieu ; la Pentecôte, qui est un événement majeur dans les écrits du Nouveau Testament, événement pendant lequel les apôtres reçoivent le Paraclet promis, l'Esprit Saint ; le Buisson Ardent, qui rappelle la présence de Dieu, c'est en le Buisson Ardent que Dieu révèle Son Nom (JE SUIS CELUI QUI SUIS) à Moïse ; et enfin, la Parousie. Ainsi, sous un événement semblant tout à fait naturel, le Professeur nous invitait, dans ce chant, à creuser, à y voir plus profondément, à comprendre que, dans cet événement naturel, se cachait un message surnaturel : un message divin... Il suffit de savoir l'interpréter. Telle est, selon notre compréhension du texte, l'analyse rapide que nous pouvons livrer de ce beau chant ! --- Le Saker D'Ahala
***
Voici les paroles du chant :
J'ai vu ! J'ai vu le feu torride,
Jaillir des entrailles de la terre.
J'ai vu ! J'ai vu la pierre liquide
Sortir de la bouche du cratère : formidable !
J'ai vu ! J'ai vu le Mont rougir
Et vomir et des gaz et des pierres !
J'ai vu le ruisseau de lave surgir
Et offrir un spectacle des plus austères.
Refrain*:
**Le Char des dieux, en furie, s'est mis, soudain,
Aux cris de ses fils dans le souci et le chagrin
Dieu a réagi et étendu la main**.
Imaginez une énorme chenille rampante
Se déployant telle une hydre à ressorts.
Considérez des pierres incandescentes
Se déplaçant comme un géant dinosaure :
C'est ce que j'ai vu !
Supposez des mottes de pierres rouge-feu
Se détachant les unes après les autres
Et dévorant tout sur leur passage hideux
Tel quelque monstre au volumineux ventre :
C'est ce que j'ai vu !
Refrain**
Croyez que, malgré les dégâts patents,
Le Seigneur ait des vies humaines épargné
Car simplement la lave a perdu de son allant
Et l'Océan voulant l'engloutir a été frustré :
C'est ce que j'ai vu !
Et la géhenne !... où ne s'éteint pas le feu ;
Et le Purgatoire !... un passage par le feu ;
Et la Pentecôte !... et ses langues de feu ;
Et le Buisson !... Dieu manifesté par le feu ;
Et la Parousie !... dévorante par le feu :
Ont envahi mon esprit langoureux
Alors j'ai dit : Dieu nous sauve !
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Paroles, musique : Pr. Gervais Mendo Ze
Solistes : Alice Ebodé ; François Mbonjo Kiye
Synthés/Orgues : Jean Jacques Adjomo ; François Minyono Nkodo
Percussions : Louis Mbani Atangana
Basse : Simon Ati
Exécution : Chorale La Voix du Cénacle
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